People from India are the second fastest growing ethno-cultural group in Canada. There are more than fifteen thousand people of Indian origin in Montreal alone. I use “diaspora” as a heuristic tool to understand the social formation and cultural patterns of these international migrants. In this research I have focused on the role of the Indian diasporic community in Montreal, specifically on the educational experiences and identity negotiation processes of youth. I have situated this inquiry within the macro terrain of globalisation and transnationalism, while the micro facets focus on social education as manifested in the contemporary society, marked by different foci of influence and similarly diverse modes of resistance. My research is located within post-formalism, and I propose critical transnational ethnography synergized by the different loops of research bricolage to study people in the diaspora. Based on my analysis, I argue that people in the diaspora invest in and create certain social energy which can be comprehended as the diasporic capital. Diasporic capital must be understood as the combination of different social energies, including but not limited to social capital, cultural capital, human capital, and economic capital. It is my contention that the role of the community on the youth depends on the manner and process through which the diasporic capital is invested in, and is used by the parents as well as the youth themselves. / Le groupe ethno-linguistique indienne connaît le deuxième plus haut taux de croissance au pays. A elle-seule, la région métropolitaine de Montréal compte plus de quinze mille personnes d'origine indienne. Comme outil heuristique, cette étude emploie concept de la diaspora afin d'analyser les dynamiques sociales et modèles culturels engendrés par les immigrants internationaux au Canada. Plus spécifiquement, cette recherche analyse les enjeux d'éducation et négotiations identitaires vecus par la communauté de jeunes indiens à Montréal. A l'échelle macro, les concepts de mondialisation et transnationalisme y sont discutés tandis qu' à l'échelle micro, l'éducation y est présentée comme le symbole d'une societé contemporaine déchirée par divers pôles d'infuences et forces de résistance. Dans une tradition post-formaliste, je propose une ethnographie a la fois transnationaliste et critique de la diaspora indienne a Montréal. Basé sur cette analyse, l'article souligne le fait que les immigrants hindous investissent tant à l'intérieur qu'à l'extérieur afin de créer une certaine énergie qui peut se concevoir comme 'capital de diaspora'. Cette forme de capital peut aussi être vu comme une combinaison de différentes formes d'énergies sociales qui incluent, mais ne se limitent pas au capital social, culturel, humain et économique. Ainsi, le rôle de la communauté sur les jeunes dépend donc de la manière à travers laquelle le capital de diaspora est investit et utilisé par les parents ainsi que la jeunesse hindou elle-même.
Identifer | oai:union.ndltd.org:LACETR/oai:collectionscanada.gc.ca:QMM.18683 |
Date | January 2008 |
Creators | Raj, Aditya |
Contributors | Joe Kincheloe (Internal/Supervisor) |
Publisher | McGill University |
Source Sets | Library and Archives Canada ETDs Repository / Centre d'archives des thèses électroniques de Bibliothèque et Archives Canada |
Language | English |
Detected Language | French |
Type | Electronic Thesis or Dissertation |
Format | application/pdf |
Coverage | Doctor of Philosophy (Department of Integrated Studies in Education) |
Rights | All items in eScholarship@McGill are protected by copyright with all rights reserved unless otherwise indicated. |
Relation | Electronically-submitted theses. |
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