Dans notre monde contemporain, les changements climatiques demeurent au centre des préoccupations des responsables de mesures d'urgence et de sécurité civile. Ils sont responsables d'une augmentation de la fréquence des événements catastrophiques affectant les populations urbanisées, rurales et isolées. Cette modification de l'environnement amène un changement au niveau de la culture du risque, de sa perception et de la vulnérabilité de ces communautés. Afin de mieux se préparer à d'éventuelles catastrophes, il advient primordial d'en comprendre les mécanismes. Ce mémoire fait l'étude du savoir local et traditionnel relié aux perceptions du risque et de la vulnérabilité d'une communauté isolée et éloignée, Blanc-Sablon, sur la Basse-Côte-Nord au Québec. Cette communauté hautement résiliente est intéressante de par ses construits sociaux du désastre uniques et fascinants. L'anthropologie du désastre nous permet donc de mieux décoder les construits sociaux du risque et leur modifications à travers des événements perturbateurs.
Identifer | oai:union.ndltd.org:LAVAL/oai:corpus.ulaval.ca:20.500.11794/23468 |
Date | 18 April 2018 |
Creators | Céré, Valérie |
Contributors | Massé, Raymond |
Source Sets | Université Laval |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | mémoire de maîtrise, COAR1_1::Texte::Thèse::Mémoire de maîtrise |
Format | 122 f., application/pdf |
Coverage | Québec (Province) |
Rights | http://purl.org/coar/access_right/c_abf2 |
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