Ce mémoire de maîtrise en études littéraires analyse la métaphore de la blessure dans les quatre essais esthétiques de Jean Genêt : L'atelier d'Alberto Giacometti (1957), Le funambule (1958), Le secret de Rembrandt (1958), Ce qui est resté d'un Rembrandt déchiré en petits carrés bien réguliers, et foutu aux chiottes (1967). Cette étude combine deux approches théoriques : la thématique bachelardienne et la sociologie de l'art théorisée par Pierre Bourdieu, Alain Darbel et Jean Dubuffet. Les concepts bachelardiens qui font l'objet de cette étude sont les motifs thématiques liés à l'espace et au processus de la rêverie créatrice. Cette approche dévoile les images qui structurent l'évocation littéraire des arts plastiques. Ces images sont ensuite analysées dans le cadre de l'institutionnalisation de l'art. Les concepts esthétiques de Genêt s'avèrent extrêmement importants dans la réflexion sur l'art menée au cours de la seconde moitié du vingtième siècle. Plusieurs critiques littéraires ont occulté la place de la pensée esthétique dans l'œuvre de Genêt. Ce mémoire a pour but de rétablir une juste perspective quant à cette pensée
Identifer | oai:union.ndltd.org:LAVAL/oai:corpus.ulaval.ca:20.500.11794/18256 |
Date | 11 April 2018 |
Creators | Poitras-Stewart, Sacha |
Contributors | Thénon, José Luis, Jolicoeur, Louis |
Source Sets | Université Laval |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | mémoire de maîtrise, COAR1_1::Texte::Thèse::Mémoire de maîtrise |
Format | 95 f., application/pdf |
Rights | http://purl.org/coar/access_right/c_abf2 |
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