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La psychothérapie personnelle comme facteur d'influence du travail des réactions contre-transférentielles

Les réactions spontanées de 30 thérapeutes à des vignettes cliniques, codifiées à l'aide de la Grille d'analyse du contre-transfert (GAC: Normandin, 1991), servent à examiner l'influence de la psychothérapie personnelle sur le travail des réactions contre-transférentielles. Les résultats montrent une relation positive entre la psychothérapie personnelle et la capacité des thérapeutes à laisser émerger librement à leur conscience des réactions internes encore diffuses et peu spécifiées, à bloquer ces dernières et à élaborer celles qui étaient auparavant inconscientes. Par ailleurs, les droites/courbes de régression procurant la meilleure qualité d'ajustement indiquent qu'avec l'augmentation de la durée de la psychothérapie personnelle, l'activité mentale rationnelle-objective tend à diminuer alors que l'activité mentale réactive tend à augmenter. L'activité mentale réflexive tend pour sa part à augmenter au cours des premières 50 heures de psychothérapie personnelle, alors qu'elle tend à diminuer lors des 100 heures suivantes, et à augmenter de nouveau après 150 heures.

Identiferoai:union.ndltd.org:LAVAL/oai:corpus.ulaval.ca:20.500.11794/40560
Date17 February 2021
CreatorsParent, Kathy
ContributorsNormandin, Lina
Source SetsUniversité Laval
LanguageFrench
Detected LanguageFrench
Typemémoire de maîtrise, COAR1_1::Texte::Thèse::Mémoire de maîtrise
Formatvii, 118 feuillets, application/pdf
Rightshttp://purl.org/coar/access_right/c_abf2

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