Introduction: Low income, less educated and immigrant populations are notorious for having low response rates in research studies. Therefore, it is not surprising that when attempting to estimate food allergy prevalence in Canada, the SCAAALAR study (Surveying Canadians to Assess the Prevalence of Common food Allergies and Attitudes towards food LAbeling and Risk), which attained a response rate of only 34.6% , underrepresented several vulnerable populations (those of low socioeconomic status, non post-secondary graduates, new Canadians, residents of the territories and Aboriginals).Objective: The objective of this thesis is two fold: 1) to determine an effective methodology for obtaining high response rates in the vulnerable populations not adequately represented in SCAAALAR and 2) to attain food allergy prevalence estimates for these vulnerable populations.Methods: To increase response rates and adequately sample the desired populations, a pilot study was conducted to evaluate the effect of unconditional incentives in vulnerable populations for a telephone survey. Households in low income/high immigrant postal codes were randomly selected and randomly assigned to receive either an unconditional incentive or no incentive. The difference in response rate and 95% confidence interval was calculated using a normal approximation to the difference of two binomial distributions. The pilot study informed the methodology employed in the SPAACE study (Surveying the8Prevalence of Food Allergy in All Canadian Environments), which subsequently addressed the second objective of this Thesis. SPAACE then estimated the prevalence of food allergy for those of low socioeconomic status, non post-secondary graduates, new Canadians, residents of the territories and Aboriginals. Prevalence estimates among vulnerable populations were compared to their comparator populations (i.e., those of high socioeconomic status, post-secondary graduates, individuals born in Canada, residents of the provinces and non-Aboriginals); between population differences and 95% confidence intervals were calculated using normal approximations to the difference of two binomial distributions.Results: The response rates were 38.4% and 31.4% for the incentive and non-incentive groups respectively, with a between group difference of 0.070 (-0.013, 0.15). The cooperation rates, which exclude non-contacts from the calculation, were 47.3% and 40.0% for the incentive and non-incentive group respectively, with a between group difference of 0.073 (-0.023, 0.17). Prevalence estimates for those of low socioeconomic status, new Canadians and Aboriginals were lower than their comparator population's prevalence (between population differences respectively: -2.44% (95% CI: -3.52%, -1.35%); -2.66% (95% CI: -3.5%, -1.82%); -2.17% (95% CI: -3.18%, -1.16%)) .Discussion: Although wide confidence intervals preclude definitive conclusions, our results suggest that unconditional incentives are an effective means of9increasing response rates in vulnerable populations for telephone surveys. Additionally, the results of SPAACE demonstrate that socioeconomic status, birthplace and ethnicity are associated with the prevalence of food allergy. These findings are indicative of potential lifestyle, cultural, and genetic factors that may influence the development of food allergy. / Introduction : Les populations immigrantes, moins nanties and moins éduquées sont reconnues comme ayant des taux de réponses peu élevés lors d'études. Il est alors peu surprenant de constater que l'étude SCAAALAR (Surveying Canadians to Assess the Prevalence of Common food Allergies and Attitudes towards food LAbeling and Risk), qui a atteint un taux de réponse de seulement de 34.6%, ait sous-représenté plusieurs groupes de la population (ceux de statut socioéconomique moins élevé, de non-gradués postsecondaire, de nouveaux arrivants au Canada, de résidents des territoires et des amérindiens). Objectif : L'objectif de cette thèse est en deux parties : 1) déterminer une méthodologie efficace pour obtenir un haut taux de réponse au sein des populations vulnérables mal-représentées avec SCAAALAR et 2) obtenir des estimés de prévalences d'allergies alimentaires pour ces populations vulnérables. Méthodologie : Pour améliorer les taux de réponse et de sonder adéquatement les populations désirées, une étude pilote a été réalisée pour évaluer les effets des incitatifs inconditionnels sur les populations vulnérables lors d'un sondage téléphonique. Les ménages situés dans les codes postaux à faibles revenus et à haute présence d'immigrants ont été sélectionnés et assignés de manière aléatoire à recevoir un incitatif inconditionnel ou à ne pas en recevoir. La différence du taux de réponse et de l'intervalle de confiance à 95% a été calculé en utilisant une approximation normale jusqu'à 2 distribution binômes. L'étude pilote a informé la11méthodologie employée dans l'étude SPAACE (Surveying the Prevalence of Food Allergy in All Canadian Environments), qui a par la suite adressé le deuxième objectif de cette thèse. SPAACE a ensuite estimé la prévalence d'allergies alimentaires pour les populations non graduées d'études postsecondaire, les immigrants, les résidents des territoires et des amérindiens. Les estimés de prévalences au sein des populations vulnérables ont été comparés à leurs populations comparatives (i.e., celles de statut socioéconomique plus élevé, les gradués postsecondaire, les canadiens nés au pays, les résidents des provinces et des non-Amérindiens); les différences entre populations et les intervalles à 95% de confiance ont été calculés en utilisant des estimés normaux de différences entre 2 distributions binômes.Résultats : Les taux de réponse ont atteint 38.4% et 31.4% pour les groupes avec et sans incitatifs, respectivement, avec une différence entre groupes de 0.070 (-0.013, 0.15). Les taux de coopération, ce qui exclu les non-contacts des calculs, ont été de 47.3% et 40.0% pour les groupes avec et sans incitatifs, respectivement, avec une différence entre groupes de 0.073 (-0.023, 0.17). Les estimés de prévalences pour les populations de statut socioéconomique moins élevé, les immigrants, et les amérindiens étaient moins élevés que les prévalences de leurs populations comparatives (différences entre populations, respectivement : -2.44% (95% CI : -3.52%, -1.35%); -2.66% (95% CI : -3.5%, -1.82%); -2.17% (95% CI : -3.18%, -1.16%)).12 Discussion : Bien que de larges intervalles de confiance excluent des conclusions définitives, nos résultats suggèrent que des incitatifs inconditionnels sont une manière efficace d'augmenter le taux de réponse lors de sondages téléphoniques auprès des populations vulnérables. De plus, les résultats de SPAACE démontrent que le statut socioéconomique, le lieu de naissance et l'ethnie sont associés à la prévalence des allergies alimentaires. Ces découvertes indiquent que des facteurs culturels, génétiques et des habitudes de vie peuvent influencer le développement des allergies alimentaires.
Identifer | oai:union.ndltd.org:LACETR/oai:collectionscanada.gc.ca:QMM.107868 |
Date | January 2012 |
Creators | Knoll, Megan |
Contributors | Ann Clarke (Supervisor) |
Publisher | McGill University |
Source Sets | Library and Archives Canada ETDs Repository / Centre d'archives des thèses électroniques de Bibliothèque et Archives Canada |
Language | English |
Detected Language | French |
Type | Electronic Thesis or Dissertation |
Format | application/pdf |
Coverage | Master of Science (Department of Epidemiology and Biostatistics) |
Rights | All items in eScholarship@McGill are protected by copyright with all rights reserved unless otherwise indicated. |
Relation | Electronically-submitted theses. |
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