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Host factors associated with HPV infection in Inuit Women of Northern Quebec

Background: The Human Leukocyte Antigen (HLA) complex, which is a set of genes involved in the identification of foreign antigens and activation of the immune system, has been proposed as a possible co-factor in HPV infections. Objectives:To determine the frequencies of HLA alleles, haplotypes and genotypes in a cohort of Inuit women in Nunavik, Quebec. The association between these alleles and haplotypes and HPV incidence, period prevalence, persistence, multiple infections and Squamous Intraepithelial Lesions (SILs) will be investigated.Methods:A cohort of 548 Inuit women seeking routine care and living in four different communities of Nunavik was assembled (2002-2010). Cervical specimens were taken at each visit and tested for HPV-DNA. HPV genotypes were classified by oncogenic potential as well as by alpha-papillomavirus species. The HLA alleles were typed using DNA extracted from cervical samples taken at cohort entry. All odds ratios and rate ratios were adjusted for age. Results:The most common HLA class I and class II alleles were HLA-E*0103 (66.4%) and HLA-DQB1*03 (94.2%), respectively. Three HLA-G alleles were prevalent in this population: HLA-G*010401 (50.4%), HLA-G*010101 (31.4%), and HLA-G*010102 (15.2%). HLA-G*010102 was associated with a significantly decreased risk of overall (OR=0.64 95% CI=0.42-0.98) and low risk (LR) (OR=0.37 95% CI=0.16-0.83) HPV period prevalence. HLA-G*010101 (and its homozygous and heterozygous genotypes) were associated with an increased risk of LR alpha group 1 and 3. The homozygous HLA-G*010401 genotype was associated with a decreased risk of LR alpha group 3 infection. No HLA alleles, haplotypes or genotypes were significantly associated with HPV persistence. The HLA-DRB1*13 allele was associated with an increased risk of any SIL and LGSIL. Conclusions:The distribution of HLA alleles and haplotypes in a population of Nunavik, Quebec is different from that found in other Canadian populations, which included women of varied ethnicities. Several alleles (G*010101, G*010102, and G*010401) were associated with HPV period prevalence, but no alleles were significantly associated with HPV persistence. / Contexte : Le complexe d'histocompatibilité (HLA) humain, un ensemble de gènes engagés dans l'identification d'antigènes étrangers et l'activation du système immunitaire, pourrait être un cofacteur des infections au VPH. Objectifs :Déterminer les fréquences des allèles, haplotypes et génotypes HLA au sein d'une cohorte de femmes inuites du Nunavik, au Québec. Cette recherche portera sur l'association entre ces allèles et haplotypes et la prévalence, l'incidence, et la persistance du VPH, de même que les infections multiples au VPH et les lésions malpighiennes intraépithéliales(SIL).Méthodes :Une cohorte composée de 548 femmes inuites s'étant présentées pour un examen de routine et vivant dans quatre communautés différentes du Nunavik a été constituée (2002-2010). Des échantillons de leur col utérin ont été prélevés à chaque visite et ont fait l'objet d'un test de dépistage d'ADN du VPH. Les génotypes du VPH ont été classés par potentiel oncogène et par espèces alphapapillomavirus. Les allèles HLA ont été typés à l'aide d'ADN provenant des échantillons de cols utérins prélevés lors de l'entré au sein de la cohorte. Tous les rapports de probabilité et taux bruts ont été ajustés en fonction de l'âge. Résultats :Les allèles HLA de catégorie I et catégorie II les plus courants sont respectivement les HLA-E*0103 (66,4 %) et HLA-DQB1*03 (94,2 %). Trois allèles HLA-G étaient prévalents au sein de cette population : HLA-G*010401 (50,4 %), HLA-G*010101 (31,4 %) et HLA-G*010102 (15,2 %). Le HLA-G*010102 était associé à un risque significativement réduit de prévalence générale du VPH (RC=0,64 95 % IC=0,42-0,98) et à un faible risque de prévalence de VPH à faible risque (RC=0,37 95 % IC=0,16-0,83). Le HLA-G*010101 et ses génotypes homozygotes et hétérozygotes étaient associés à un risque augmenté de groupes alpha 1 et 3 à faible risque. Le génotype homozygote HLA-G*010401 était associé à un risque réduit d'infection de groupe alpha 3 à faible risque. Aucun allèle, haplotype ni génotype HLA n'était associé de manière significative à la persistance du VPH. L'allèle HLA-DRB1*13 était associé à un risque réduit de toute lésion intraépithéliale malpighienne (SIL) ou de toute lésion intraépithéliale malpighienne de bas grade (LGSIL). Conclusions :La distribution des allèles et haplotypes HLA au sein d'une population du Nunavik, au Québec, diffère de celle observée au sein d'autres populations canadiennes, comprenant des femmes d'origines ethniques diverses. Plusieurs allèles (G*010101, G*010102 et G*010401) étaient associés à la prévalence du VPH au cours d'une période donnée, mais aucun n'était associé de façon significative à la persistance du VPH.

Identiferoai:union.ndltd.org:LACETR/oai:collectionscanada.gc.ca:QMM.110716
Date January 2012
CreatorsMetcalfe, Stephanie
ContributorsPaul Brassard (Internal/Supervisor)
PublisherMcGill University
Source SetsLibrary and Archives Canada ETDs Repository / Centre d'archives des thèses électroniques de Bibliothèque et Archives Canada
LanguageEnglish
Detected LanguageFrench
TypeElectronic Thesis or Dissertation
Formatapplication/pdf
CoverageMaster of Science (Department of Epidemiology & Biostatistics)
RightsAll items in eScholarship@McGill are protected by copyright with all rights reserved unless otherwise indicated.
RelationElectronically-submitted theses.

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