Par ce mémoire, nous voulons participer à rétablir un équilibre dans l'interprétation de la philosophie pratique d'Emmanuel Kant, laquelle philosophie fut souvent accusée d'être « sévère », rigoriste voire austère. Nous étudions la définition et l'ensemble des rôles du bonheur dans la morale kantienne. Les ouvrages utilisés sont notamment la deuxième Critique et les Fondements de la métaphysique des mœurs. Nous nous penchons ainsi principalement sur la critique de l'eudémonisme, sur le bonheur comme fin naturelle nécessaire, sur les devoirs direct et indirect de travailler au bonheur et sur le but final et nécessaire de la raison pratique, le souverain Bien. Il est ainsi montré que Kant accorde une très grande importance au bonheur, bien qu'il refuse que son désir soit le principe fondateur et déterminant de la moralité.
Identifer | oai:union.ndltd.org:LAVAL/oai:corpus.ulaval.ca:20.500.11794/40666 |
Date | 04 March 2021 |
Creators | Sasseville, Jocelyn |
Contributors | Langlois, Luc |
Source Sets | Université Laval |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | mémoire de maîtrise, COAR1_1::Texte::Thèse::Mémoire de maîtrise |
Format | iv, 91 feuillets, application/pdf |
Rights | http://purl.org/coar/access_right/c_abf2 |
Page generated in 0.0024 seconds