S’il était possible de résumer le contenu d’un mémoire de maîtrise en moins de cent cinquante mots, cela signifierait qu’un très grand nombre de mots, de lignes, de paragraphes et de chapitres seraient, à toutes fins utiles, inutiles et superflus. Le résumé afficherait alors fièrement le résultat obtenu au terme d’une démarche dont on pourrait enfin se débarrasser. Tout le monde y gagnerait : l’auteur serait d’autant plus léger qu’il n’aurait plus à traîner son boulet et quiconque ne s’intéresse qu’au positif apprendrait en moins de temps qu’il n’en faut pour crier « ciseaux » que la question du fondement, ici abordée à partir du Concept d’angoisse et à la manière de Kierkegaard, est inséparable, entre autres choses, de la pseudonymie, de l’ambiance, de la dialectique et de l’interprétation.
Identifer | oai:union.ndltd.org:LAVAL/oai:corpus.ulaval.ca:20.500.11794/45300 |
Date | 27 August 2021 |
Creators | Deschênes, Jean-Guy |
Contributors | Boss, Gilbert |
Source Sets | Université Laval |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | mémoire de maîtrise, COAR1_1::Texte::Thèse::Mémoire de maîtrise |
Format | 108 feuillets, application/pdf |
Rights | http://purl.org/coar/access_right/c_abf2 |
Page generated in 0.0142 seconds