Cette thèse s’est donnée pour tâche de montrer que le jugement chez Denis Diderot (1713-1784) repose sur l’acte d’un corps, c’est-à-dire de montrer qu’il est possible uniquement à partir de la sensibilité et de la mémoire du corps humain de rendre compte de la complexité de ses jugements. Plus précisément, nous avons défendu l’idée que, chez Diderot, c’est le corps, par sa relative unité et stabilité, qui lie diverses sensations dans un jugement. À la lumière de la pensée de ce philosophe, ce travail se veut une première étape vers l’élucidation des rapports corporels qui peuvent stimuler ou entraver certains types de jugement et ultimement le perfectionnement du jugement.
Identifer | oai:union.ndltd.org:uottawa.ca/oai:ruor.uottawa.ca:10393/31838 |
Date | January 2014 |
Creators | Leduc, Éric |
Contributors | Rioux-Beaulne, Mitia |
Publisher | Université d'Ottawa / University of Ottawa |
Source Sets | Université d’Ottawa |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | Thesis |
Page generated in 0.0018 seconds