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Le texte comme partition dans le slam de poésie : l'exemple québécois suivi de Gris écarlate

La pratique du slam de poésie, dont les débuts remontent à une cinquantaine d'années tout au plus, gagne en popularité. C'est un art de la brièveté et, surtout, fortement ancré dans l'oralité, ce qui lui confère sa singularité. Ainsi, il est nécessaire de s'imprégner de l'essence du slam de poésie afin de s'assurer de sa pleine réception. La nature orale du slam de poésie l'exigeant, la partie critique de ce mémoire précède la partie création puisqu'il est essentiel de comprendre l'orientation de cette pratique particulière et de saisir quel état d'esprit est requis à la lecture. Nous nous intéressons donc, dans la première partie, à l'origine du slam de poésie, à son évolution en contexte québécois, aux particularités propres à sa pratique dans la ville de Québec ainsi qu'aux détails de sa pratique. Nous étudions les textes de slam de poésie sous l'angle de leur oralité, c’est-à-dire en considérant le texte comme une partition et chercherons à comprendre les traces d'oralité sous un aspect rhétorique pour ensuite écouter les performances enregistrées et ainsi valider nos observations. Une fois l'univers du slam de poésie mis en perspective, la partie création propose d'explorer les possibilités qu'offre le slam dans des textes de création que nous proposons de lire comme des partitions.

Identiferoai:union.ndltd.org:LAVAL/oai:corpus.ulaval.ca:20.500.11794/104264
Date13 December 2023
CreatorsSylvain, Ann
ContributorsSylvain, Ann., Dumont, François
Source SetsUniversité Laval
LanguageFrench
Detected LanguageFrench
TypeCOAR1_1::Texte::Thèse::Mémoire de maîtrise
Format1 ressource en ligne (iv, 138 pages), application/pdf
CoverageQuébec (Province) -- Québec.
Rightshttp://purl.org/coar/access_right/c_abf2

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