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Relationship-specific identification and spontaneous relationship maintenance processes

Attractive alternative partners pose one of the greatest potential threats to the stability of a romantic relationship (Kelly & Thibaut, 1978; Simpson, Gangestad & Lerma, 1990). Given that people are often limited in the time and energy they have to manage such relational threats, having the capacity to engage in effortless relationship protective responding is extremely useful. In 6 studies, I explore how people's identity in terms of their romantic relationship - their relationship-specific identity - affects their relationship protective behaviours and relationship survival. I predicted that once a relationship becomes a core part of one's sense of self, individuals are able to exhibit relatively fluid, spontaneous relationship maintenance responses (RMRs). In Study 1, I assessed the convergent and divergent validity of relationship-specific identification by examining its associations with other relationship constructs. In Study 2, I explored whether relationship-specific identification predicted relatively spontaneous pro-relationship responses, and found that high identifiers were more likely to use subtle variations in language to reflect and cultivate a shared reality with their partners. In Studies 3, 4, and 5, I examined the relationship-specific identification to spontaneous RMRs link in the context of an attractive alternative relational threat. Specifically, in Studies 3 and 4, I found that participants less identified with their relationships were less likely to mention their partner or relationship than those high in relationship-specific identification, but only when interacting with an attractive member of their preferred sex. Similarly, in Study 5, using a dot probe visual cueing task, I found that when primed with an attractive member of their preferred sex, those low in relationship-specific identification gazed longer at attractive preferred-sex others compared to those high in relationship-specific identification. Finally, in Study 6, I found that relationship-specific identification was associated with relationship survival 1-3 years after the initial assessment. The present results demonstrate that relationship-specific identification is one variable that may protect relationships by fostering relatively spontaneous, pro-relationship responses in the face of relational threat. / Les individus que l'on considère attirants et qui représentent une alternative intéressante en tant que partenaire romantique constituent l'une des plus grandes menaces potentielles à la stabilité d'une relation amoureuse (Kelly & Thibaut, 1978; Simpson, Gangestad & Lerma, 1990). Étant donné que les gens sont souvent limités dans le temps et l'énergie qu'ils ont pour gérer de telles menaces relationnelles, il est extrêmement utile d'avoir la capacité de pouvoir manifester sans effort une réaction pouvant protéger la relation. Grâce à 6 études, j' explore la façon dont l'identification que les individus possèdent par rapport à leur relation amoureuse – leur identification spécifique à la relation – affecte leurs comportements qui protègent leur relation ainsi que la survie de leur relation. J'ai prédit que, dès qu'une relation devient un élément essentiel du sentiment identitaire, les individus sont en mesure de démontrer des réactions de maintien relationnel (RMRs) relativement fluides et spontanées. Dans l'étude 1, j'ai évalué la validité convergente et divergente de l'identification spécifique à la relation en examinant ses associations avec d'autres concepts relationnels. Dans l'étude 2, j'ai exploré si l'identification spécifique à la relation prédisait des réactions pro-relationnelles relativement spontanées, et j'ai ainsi constaté que les individus s'identifiant plus fortement à leur relation étaient plus susceptibles de recourir à des variantes subtiles du langage pour accepter les raisons qui guident les actions de leur partenaire. Dans les études 3, 4 et 5, j'ai examiné le lien entre l'identification spécifique à la relation et les RMRs spontanées dans le contexte d'une menace relationnelle amenée par un partenaire potentiel intéressant. Plus précisément, dans les études 3 et 4, j'ai constaté que les participants s'identifiant moins fortement avec leur relation étaient moins susceptibles de mentionner l'existence de leur partenaire ou leur relation comparativement à ceux s'identifiant plus fortement à leur relation, mais ceci seulement lorsqu'ils interagissaient avec un individu intéressant du sexe préféré. De même, dans l'étude 5, grâce à l'utilisation d'une tâche de repérage visuel à point de sonde ('dot probe task') et par la technique de l'amorçage (priming) présentant des individus intéressants du sexe préféré, j'ai constaté que les participants s'identifiant moins fortement avec leur relation regardaient plus longuement des individus intéressants du sexe préféré, comparativement aux participants s'identifiant plus fortement avec leur relation. Enfin, dans l'étude 6, j'ai constaté que l'identification spécifique à la relation était associée à une survie de la relation 1 à 3 ans après l'évaluation initiale. Les résultats présentés ici démontrent que l'identification spécifique à la relation est une variable qui peut protéger les relations en favorisant des réactions protectrices pro-relationnelle de façon relativement spontanée face aux menaces relationnelles.

Identiferoai:union.ndltd.org:LACETR/oai:collectionscanada.gc.ca:QMM.110414
Date January 2012
CreatorsLinardatos, Pantelitsa
ContributorsJohn Lydon (Internal/Supervisor)
PublisherMcGill University
Source SetsLibrary and Archives Canada ETDs Repository / Centre d'archives des thèses électroniques de Bibliothèque et Archives Canada
LanguageEnglish
Detected LanguageFrench
TypeElectronic Thesis or Dissertation
Formatapplication/pdf
CoverageDoctor of Philosophy (Department of Psychology)
RightsAll items in eScholarship@McGill are protected by copyright with all rights reserved unless otherwise indicated.
RelationElectronically-submitted theses.

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