Lorsque la Nouvelle-France passe aux mains de la Grande-Bretagne en 1760, l'espèce équine y abonde, au point où les Canadiens ont développé un rapport au cheval particulier. Ce cheptel florissant et cette culture naissante se voient rapidement confrontés au reste de l'Occident, pour lequel les Britanniques se posent alors en leaders. Ces derniers exposent ainsi les locaux à un monde chevalin d'une richesse et d'une complexité exceptionnelles. Les nouveaux types d'équidés, les méthodes d'élevage révolutionnaires et la structuration des clivages sociaux à travers les codes liés aux chevaux sèment la voie à des changements durables dans le cheptel équin et la culture équestre de la vallée du Saint-Laurent.
Identifer | oai:union.ndltd.org:LAVAL/oai:corpus.ulaval.ca:20.500.11794/22298 |
Date | 17 April 2018 |
Creators | Bélanger, Andrée |
Contributors | Laberge, Alain |
Source Sets | Université Laval |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | mémoire de maîtrise, COAR1_1::Texte::Thèse::Mémoire de maîtrise |
Format | viii, 146 f., application/pdf |
Coverage | Saint-Laurent, Vallée du, 18e siècle, 19e siècle |
Rights | http://purl.org/coar/access_right/c_abf2 |
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