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Partnered for health: How health interacts with partnership and how policy manages health inequality

Marriage may benefit individuals as much as smoking harms their health. Men, in particular benefit from a gain of as much as 10 years in life expectancy; for women the gain is 4 years. While we know that these inequalities exist between those who are single and those who live in partnerships (marital or cohabitating), we do not know why they exist. Here are four hypotheses that suggest why there may be a relationship: Partnership Benefits, Positive Selection, Cleaning Up, and Negative Selection. However, the impact of each is related to policy context and gender over the life course. This dissertation uses longitudinal data from panel studies in Canada and the U.S. in order to consider the variable impact of gender and policy in changing the incentives involved in partnering and partnership type. We focus on the transition into partnership as a highly selective event that is followed, in theory, by a period of health and social benefits. We use smoothed non-linear adjusted health curves surrounding the transition into partnership in order to determine who partners, along with when and how much benefits accrue. All analyses are separated by gender to understand the role that gender has in finding partners and benefiting from partnerships. Findings suggest first partnership benefits dominate in Canada, and positive selection dominates in the U.S., that differences in social benefits and healthcare policy determine the importance of health selection. We also show that partnership type plays a role that depends on policy regime and that gender modifies the role that benefits and selection play. This dissertation therefore highlights the unintended impact that social policies have in determining who partners and when. Put simply, 'marriage matters' only when being 'not married' (i.e. single or cohabiting) is risky. / Le mariage peut être avantageux pour les gens, tout autant que le tabagisme nuit à leur santé. Les hommes, en particulier, bénéficient d'une augmentation de dix ans de leur espérance de vie; pour les femmes, cette augmentation est de quatre ans. Bien que nous soyons conscients que ces inégalités existent entre les personnes célibataires et celles qui vivent en partenariat (mariage ou concubinage), il existe quatre hypothèses qui semblent indiquer en partie ce qui se passe et pourquoi il en est ainsi : les avantages du partenariat, la sélection positive, la responsabilisation et la sélection négative. Cependant, l'incidence de chacune est liée au sexe des personnes et au contexte politique au cours de leur vie. La présente dissertation s'appuie sur des données longitudinales provenant d'études par panel réalisées au Canada et aux États-Unis, afin d'examiner l'incidence variable du sexe et des politiques dans la modification des incitations en cause dans les partenariats et les types de partenariats. Nous nous concentrons sur la transition vers le partenariat comme un événement hautement sélectif qui est suivi, en théorie, par une période d'avantages sur les plans social et de la santé. Nous utilisons des courbes de santé non linéaires ajustées lissées pour illustrer la transition vers un partenariat en vue de déterminer les personnes qui entrent en partenariat, le moment qu'elles choisissent pour le faire, ainsi que les avantages que ce partenariat leur procure. Toutes les analyses sont séparées par sexe pour comprendre le rôle variable que le sexe exerce sur la découverte d'un partenaire et les avantages que procure le partenariat. Les résultats semblent indiquer que les politiques publiques, surtout celles touchant les soins de santé, déterminent l'importance de la sélection relative à la santé, et que le sexe modifie le rôle que jouent les avantages et la sélection. La présente dissertation met donc en évidence les effets non intentionnels que les politiques sociales produisent dans la détermination des personnes qui entrent en partenariat et du moment qu'elles choisissent pour le faire. En d'autres termes, le « mariage est important » seulement lorsque le fait de n'être « pas marié » (c.-à-d., célibataire ou en concubinage) est risqué.

Identiferoai:union.ndltd.org:LACETR/oai:collectionscanada.gc.ca:QMM.97018
Date January 2011
CreatorsClouston, Sean
ContributorsAmélie Quesnel Vallée (Internal/Supervisor)
PublisherMcGill University
Source SetsLibrary and Archives Canada ETDs Repository / Centre d'archives des thèses électroniques de Bibliothèque et Archives Canada
LanguageEnglish
Detected LanguageFrench
TypeElectronic Thesis or Dissertation
Formatapplication/pdf
CoverageDoctor of Philosophy (Department of Sociology)
RightsAll items in eScholarship@McGill are protected by copyright with all rights reserved unless otherwise indicated.
RelationElectronically-submitted theses.

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