Les arts martiaux chinois, pratiqués en Chine mais également partout dans le monde, constituent un art regroupant plusieurs aspects : une méthode de combat, une activité sportive, une recherche d’auto-défense, un loisir. Mais les arts martiaux sont également souvent présentés comme une manière de vivre une certaine spiritualité orientale, ou du moins un mode de vie basé sur une philosophie et une morale bien précise. Ce mémoire se veut une analyse anthropologique et historique des rapports entre des arts de combat chinois et une spiritualité taoïste. À. travers l’étude d’un discours spirituel, on peut voir comment les adeptes d’arts martiaux se sont construit toute une « tradition taoïste des arts martiaux », c’est-à-dire une tradition d’arts de combat qui insère la pratique martiale dans le cadre plus large de la spiritualité taoïste. C’est une quête d’origine qui s’incarne en amalgamant différents éléments (généralement mythiques) tirés des traditions taoïstes « classiques » pour ainsi créer un nouveau discours qui viendra légitimer la pratique des arts martiaux. Dans cette quête d’origine spirituelle, c’est une quête de sens que l’adepte entreprend.
Identifer | oai:union.ndltd.org:LAVAL/oai:corpus.ulaval.ca:20.500.11794/46834 |
Date | 20 April 2021 |
Creators | Larochelle, Dominic |
Contributors | Couture, André |
Source Sets | Université Laval |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | mémoire de maîtrise, COAR1_1::Texte::Thèse::Mémoire de maîtrise |
Format | 128 feuillets, application/pdf |
Coverage | Chine. |
Rights | http://purl.org/coar/access_right/c_abf2 |
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