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Effect of exercise training on preeclampsia superimposed on chronic hypertension in a mouse model

Preeclampsia is among the leading causes of perinatal mortality and morbidity, affecting 2-7% of pregnancies. Its incidence increases to 10-25% in already hypertensive women. To date, no treatment, aside from delivery, is known. Interestingly, several studies have reported that exercise training (ExT) can reduce preeclampsia prevalence although the available studies are considered insufficient. Therefore, the aim of this study is to determine the impact of ExT when practiced before and during gestation on pregnancy outcome in a mouse model of preeclampsia superimposed on chronic hypertension (SPE).
To do so, mice overexpressing both human angiotensinogen and renin (R+A+)
were used because they are hypertensive at baseline and they develop many hallmark features of SPE. Mice were trained by placing them in a cage with access to a running wheel 4 weeks before and during gestation.
ExT in this study prevented the rise in blood pressure at term observed in the sedentary transgenic mothers. This may be realized through an increased activity of the angiotensin-(1-7) axis in the aorta. In addition, ExT prevented the increase in albumin/creatinine ratio. Moreover, placental alterations were prevented with training in transgenic mice, leading to improvements in placental and fetal development. Placental mRNA and circulating levels of sFlt-1 were normalized with training. Additionally, the increase in angiotensin II type I receptor and the decrease in Mas receptor protein were reversed with training.
ExT appears to prevent many SPE-like features that develop in this animal model and may be of use in the prevention of preeclampsia in women. / La prééclampsie est l’une des causes primaires de mortalité et morbidité périnatales, touchant 2-7% des grossesses. Sa prévalence augmente à 10-25% chez les femmes hypertendues. Jusqu’à maintenant, aucun traitement, mis à part l’accouchement précoce, n’est connu. Néanmoins, plusieurs études épidémiologiques suggèrent une diminution de l’incidence de la prééclampsie chez les femmes entraînées quoique, ces études sont considérées insuffisantes. Ainsi, le but de cette étude est de déterminer si l’entraînement avant et pendant la grossesse prévient la maladie dans un modèle animal de prééclampsie superposée à de l’hypertension chronique (SPE).
Nous avons utilisé des souris double transgéniques, surexpirmant la rénine et l’angiotensinogène humaines (R+A+), puisqu'elles sont hypertensives à la base, et développent plusieurs symptômes de la prééclampsie. Pour l'entraînement, les souris ont été mises dans des cages d’exercice 4 semaines avant leur grossesse et y sont restées jusqu’au sacrifice.
L'entraînement physique a prévenu la hausse de pression artérielle en fin de gestation présente chez les souris R+A+ sédentaires, possiblement via l’axe de l’angiotensine-(1-7). Le rapport entre l’albumine: créatinine a également été réduit avec l’entraînement. Les altérations placentaires ont été prévenues chez les souris entraînées, améliorant le développement placentaire et fœtal. Ceci était accompagné d'une normalisation de sFlt-1 circulant et placentaire. De plus, l’augmentation du récepteur à l’angiotensine II de type 1 et la diminution du récepteur Mas dans le placenta étaient renversées.
L’entraînement semble prévenir plusieurs symptômes de la SPE dans un modèle animal suggérant qu'il pourrait être d'une grande utilité dans la prévention de la maladie chez la femme.

Identiferoai:union.ndltd.org:umontreal.ca/oai:papyrus.bib.umontreal.ca:1866/10272
Date08 1900
CreatorsGenest, Suzanne Dominique
ContributorsLavoie, Julie, Gutkowska, Jolanta
Source SetsUniversité de Montréal
LanguageEnglish
Detected LanguageFrench
TypeThèse ou Mémoire numérique / Electronic Thesis or Dissertation

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