Les technologies actuelles permettent l'intégration sur une même puce de systèmes complexes (SoCs) qui sont composés de blocs préconçus (IPs) pouvant être interconnectés grâce à un réseau sur la puce (NoCs). De manière générale, les IPs sont validés par diverses techniques (simulation, test, vérification formelle) et le problème majeur reste la validation des infrastructures des communications. Cette thèse se concentre sur la vérification formelle des réseaux sur puce à l'aide d'un outil de preuve automatique, le démonstrateur de théorèmes ACL2. Un méta-modèle pour les réseaux sur puce a été développé et implémenté dans ACL2. Il satisfait des propriétés de correction générique, conséquences logiques d'un ensemble d'obligations de preuve sur les constituants principaux du réseau (topologie, routage, technique de commutation,...). La preuve de correction pour une instance spécifique de réseau sur puce est alors réduite à la vérification de ces obligations de preuve. Cette thèse poursuit les travaux entrepris dans ce domaine en étendant ce méta-modèle dans plusieurs directions : prise en compte plus fine de la modélisation temporelle, du contrôle de flux, des mécanismes de priorités,... Les résultats sont démontrés sur plusieurs réseaux actuels : Hermes (Université fédérale du Rio Grande do Sul, Brésil et LIRMM) et Nostrum (Royal Institute Of Technology, Suéde).
Identifer | oai:union.ndltd.org:CCSD/oai:tel.archives-ouvertes.fr:tel-00484886 |
Date | 30 April 2010 |
Creators | Helmy, A. |
Source Sets | CCSD theses-EN-ligne, France |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | PhD thesis |
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