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Ce qu’il reste de nous (nouvelles) suivi de Écriture du corps et fragilité dans quatre nouvelles d’Aude

Ce mémoire s’intéresse à la fragilité des personnages en crise, à leur évolution psychologique et à leurs perceptions du corps dans l’espace. De tels personnages sont présents dans mon écriture, ainsi que dans les œuvres d’Aude (1947-2012), une écrivaine québécoise ayant publié six romans et cinq recueils de nouvelles. Dans la première partie de ce mémoire, je présente un recueil de six nouvelles, intitulé Ce qu’il reste de nous, composé de prose et de fragments poétiques. Dans chacun des textes, un personnage traverse une crise reliée à un problème corporel et se sert souvent de l’art pour tenter de la surmonter. Le recueil cherche à rendre différentes vulnérabilités humaines et les gestes posés par les personnages afin de se reconstruire physiquement et mentalement.
La partie réflexive analysera les mouvements du corps et des lieux, tout autant que l’évolution psychologique des personnages dans quatre nouvelles d’Aude, issues de deux recueils publiés aux éditions XYZ : Banc de brume, ou La petite fille qu’on croyait partie avec l’eau du bain, publié en 1997, et Cet imperceptible mouvement, publié en 2006. L’analyse de composantes textuelles illustrant la perte ou la guérison des personnages est menée en fonction de la transformation corporelle et environnementale des protagonistes dans les nouvelles « Cet imperceptible mouvement que l’on appelle la vie » et « L’interdite ». Deux autres nouvelles, « Fêlures » et « Période Camille », permettront de montrer l’incidence de l’art et de la peinture sur la transformation du ou de la protagoniste.

Identiferoai:union.ndltd.org:usherbrooke.ca/oai:savoirs.usherbrooke.ca:11143/11103
Date January 2017
CreatorsVich-Morency, Mélissa
ContributorsWatteyne, Nathalie
PublisherUniversité de Sherbrooke
Source SetsUniversité de Sherbrooke
LanguageFrench
Detected LanguageFrench
TypeMémoire
Rights© Mélissa Vich Morency

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