AbstractMaasai pastoral landholdings presently collectively held and managed under group ranch tenure arrangement are increasingly under pressure to subdivide and privatize. Subsequent processes of defining, administering, allocating and securing land rights and associated resources within pastoral landholdings has remained largely contentious. The complex interplay between market forces, state bureaucracy (policy, legal and administrative framework), customary value systems and institutions in the process of allocating land rights against a backdrop of competing land-use options and mounting population pressure provides the setting for unpacking the dynamics of land related graft.This thesis presents new data to analyze emerging and increasing incidences of practices and activities that could generally be described as 'corrupt' in the process of subdivision and privatization of pastoral commons. Understanding the roles, interests and strategies of different social actors and institutions – local group ranch members, group ranch officials, ministry of lands officials, private sector investors (conservationists, tourism sector players, land surveyors, lawyers) - during the land subdivision processes, seen in the light of historical and current social, economic, and political trajectories, can help deepen our understanding of land related corruption and its likely impact on future land use trends and local livelihoods. In particular, community conservation initiatives driven by private sector investors, local community members' unfamiliarity with functioning of the state bureaucracy and personal agency in rent seeking tendencies inevitably have the strongest influence on social equity with respect to land and associated resources within the GR context.. However, the increase in land related graft is not a simple function of the shortfalls arising from market inequity and state inefficiency related outcomes. They are as much influenced by carry-over of practices of indigenous value systems on resource distribution based on reciprocity. These findings are relevant not only for Maji moto group ranch and group ranches adjacent to Maasai Mara game reserve, but also for pastoral livelihood and land-use options elsewhere in Kenya and sub-Saharan Africa / RésuméLes propriétés foncières pastorales Maasai actuellement détenues et gérées collectivement sous arrangement « mandat ranch de groupe sont de plus en plus sous pression de parcelisation et privatisation. Les processus ultérieurs de définition, d'administration, affectation et sécurisation des droits fonciers et des ressources connexes au sein de propriétés foncières pastorales sont restés largement controversés. L'interaction complexe entre les forces du marché, la bureaucratie d'État (politique, cadre juridique et administratif), les systèmes de valeurs et institutions coutumiers dans le processus d'allocation des droits fonciers dans un contexte d'options concurrentes d'utilisation des terres et la pression démographique offrent un cadre pour le déballage de la dynamique de corruption liée à la terre. Cette thèse présente de nouvelles données qui analysent l'émergence et l'augmentation de l'incidence des pratiques et des activités qui pourraient généralement être décrites comme «corrompues» dans le processus de lotissement et de privatisation des biens communs pastoraux Comprendre les rôles, intérêts et stratégies des différents acteurs sociaux et institutions - membres locaux du groupe de ranchs, responsables de ranchs, fonctionnaires du ministère des terres, investisseurs du secteur privé ( écologistes, acteurs du secteur du tourisme, arpenteurs-géomètres, avocats) - pendant le déroulement du processus de lotissement, considérés à la lumière des trajectoires sociales actuelles et historiques, économiques et politiques, peuvent aider à approfondir notre compréhension de la corruption liée à la terre et son impact probable sur les tendances futures d'utilisation des terres et des moyens de subsistance locaux. En particulier, les initiatives de conservation communautaires stimulées par les investisseurs du secteur privé, la méconnaissance du fonctionnement de la bureaucratie étatique par les membres des collectivités locales et les actions personnelles dans les efforts de recherche de rentes ont inévitablement une plus forte influence sur l'équité sociale par rapport à la terre et aux ressources associées dans le contexte GR. Cependant, l'augmentation des griefs liés à la terre ne provient pas simplement des déficits résultant de l'inégalité du marché et de l'incapacité de l'Etat à atteindre les résultats attendus. Mais, ils sont aussi très influencés par les pratiques de systèmes de valeurs autochtones relatives à la répartition des ressources fondées sur la réciprocité. Ces conclusions sont pertinentes non seulement pour le groupe de ranchs Maji Moto et des ranchs collectifs adjacents à la réserve de chasse Masaï Mara, mais aussi pour les moyens de subsistance pastoraux et des options d'utilisation des terres ailleurs au Kenya et en Afrique subsaharienne.
Identifer | oai:union.ndltd.org:LACETR/oai:collectionscanada.gc.ca:QMM.123174 |
Date | January 2014 |
Creators | Riamit, Stanley |
Contributors | John Galaty (Internal/Supervisor) |
Publisher | McGill University |
Source Sets | Library and Archives Canada ETDs Repository / Centre d'archives des thèses électroniques de Bibliothèque et Archives Canada |
Language | English |
Detected Language | French |
Type | Electronic Thesis or Dissertation |
Format | application/pdf |
Coverage | Master of Arts (Department of Anthropology) |
Rights | All items in eScholarship@McGill are protected by copyright with all rights reserved unless otherwise indicated. |
Relation | Electronically submitted theses |
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