Le traitement d'abus passés des droits de la personne s'avère un sujet très épineux dans un contexte de transition démocratique récente. Doit-on pencher du côté de l'amnistie des transgresseurs, souvent invoquée comme outil permettant d'enterrer les problèmes et souffrances d'hier, ou est-il plutôt préférable de traduire les contrevenants en justice, afin d'éviter l'insatisfaction des victimes et de leurs sympathisants, ainsi que tous les problèmes qui y sont reliés? Cette thèse s'intéresse au cas de l'Argentine, pays qui a vécu les deux extrêmes de ce continuum, en tentant de déterminer si cette nation sud-américaine a connu un réinvestissement dans la cause des droits humains comparable à celui vécu par la littérature spécialisée à partir des années 1990. À cet effet, nous concentrerons notre attention sur la périodisation proposée par Thomas Wright dans son ouvrage "State Terrorism in Latin America: Chile, Argentina, and International Human Rights" en essayant de déterminer sa vraisemblance.
Identifer | oai:union.ndltd.org:uottawa.ca/oai:ruor.uottawa.ca:10393/23613 |
Date | January 2012 |
Creators | Ringuelet, Julian |
Contributors | Doran, Marie-Christine |
Publisher | Université d'Ottawa / University of Ottawa |
Source Sets | Université d’Ottawa |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | Thesis |
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