Ce mémoire porte sur la résilience du religieux à l'intérieur des institutions politiques tibétaines. Il suit le parcours politique des Tibétains à partir de la fin des années 1940 jusqu'au début des années 2000 en remettant en question la théorie de la sécularisation, puisque le religieux n'a jamais cessé d'être omniprésent dans l'arène publique, notamment dans l'expression du nationalisme tibétain. Il y est question du système traditionnel de l'union du politique et du religieux (chos srid gnyis 'brel), symbolisée par le Dalaï-Lama, le rôle des oracles d'État ainsi que de l'expérience politique de la diaspora tibétaine en Inde. Nous analysons les réformes démocratiques du gouvernement tibétain en exil sous l'angle de la continuité avec le régime précédent, tout en faisant la lumière sur les ruptures face au passé politique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Institutions politiques, Sécularisation, Bouddhisme, Nationalisme, Tibet, Tibétains, Dalaï-Lama, Exil, Diaspora.
Identifer | oai:union.ndltd.org:LACETR/oai:collectionscanada.gc.ca:QMUQ.2807 |
Date | January 2006 |
Creators | Demers, Marijo |
Source Sets | Library and Archives Canada ETDs Repository / Centre d'archives des thèses électroniques de Bibliothèque et Archives Canada |
Detected Language | French |
Type | Mémoire accepté, NonPeerReviewed |
Format | application/pdf |
Relation | http://www.archipel.uqam.ca/2807/ |
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