This work studies the geographical and the scale variability of the summer diurnal cycle of precipitation over Continental United States through the analysis of 12 years of radar mosaics during the period 1996-2007. Wavelet analysis was performed to understand the importance of different spatial scales ranging from 8 km to 512 km. The objective of this thesis is to study the dependence of the variability of the rainfall field on location and time of day and how spatial scale explains this variability.The results of this analysis show that the maximum activity for the different spatial scales occurs at different times of day: the larger the scale, the later their maximum influence occurs. The initiation of precipitation is scale-dependent: the onset is associated with the small scales, which later on they grow to form larger rainfall patterns. Over the Great Plains the average precipitation field presents two temporal maxima: one occurring during the afternoon and related to small scales (associated with the radiative forcing) and another one occurring during night hours related to larger scales (organized rainfall systems propagating from the west). In the eastern U.S., the precipitation pattern is also scale-dependent, it presents a similar behavior to that over the eastern lee of the Rocky Mountains. In particular, the maximum rainfall rates occur in the afternoon in association with small-scale processes. Monthly precipitation, and its scale decomposition, is also analyzed to present the differences in the diurnal cycle of precipitation for each summer month. / Cette étude porte sur la variabilité géographique et d'échelle du cycle diurne des précipitations estivales, au-dessus des États-Unis continentaux, par l'analyse de mosaïques radars de 12 ans pour la période de 1996-2007. Les transformées en ondelettes sont utilisées pour saisir l'importance des différentes échelles spatiales de 8 à 512 km dans le cycle diurne. L'objectif de cette mémoire est d'étudier la dépendance de la variabilité du champ de précipitation sur l'endroit géographique et la période du jour, et comment cette variabilité est expliquée par les différentes échelles.Les résultats de cette analyse montre que l'activité maximale de précipitation survient à un temps différent pour différentes échelles spatiales : plus large est l'échelle, plus tard se produit l'importance maximal de l'échelle. L'initiation de précipitation dépend de l'échelle : le début est associé aux petites échelles, qui s'organisent plus tard pour former des chutes de pluie à plus grande échelle. Sur les Grandes Prairies, la moyenne du champ de précipitation montre deux maximums : un en après-midi et relié aux petites échelles (associé au forçage radiative); un second durant la nuit, relié aux grandes échelles (systèmes de chute de pluie se propageant de l'ouest). Au dessus de la région Est, la distribution de précipitation est également dépendante de l'échelle; elle montre un comportement similaire au-dessus du côté Est des Rocheuses. En particulier, un taux maximal de chute de pluie advient en après-midi en association avec des processus de petites échelles. La précipitation mensuelle, et sa décomposition par échelles, est aussi analysée afin d'identifier les différences dans le cycle diurne de précipitation de chaque mois estival.
Identifer | oai:union.ndltd.org:LACETR/oai:collectionscanada.gc.ca:QMM.97238 |
Date | January 2011 |
Creators | Borque, Paloma |
Contributors | Isztar Zawadzki (Internal/Supervisor) |
Publisher | McGill University |
Source Sets | Library and Archives Canada ETDs Repository / Centre d'archives des thèses électroniques de Bibliothèque et Archives Canada |
Language | English |
Detected Language | French |
Type | Electronic Thesis or Dissertation |
Format | application/pdf |
Coverage | Master of Science (Department of Atmospheric and Oceanic Sciences) |
Rights | All items in eScholarship@McGill are protected by copyright with all rights reserved unless otherwise indicated. |
Relation | Electronically-submitted theses. |
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