Malgré l'amélioration considérable de ses conditions de VIe et l'implantation dans son environnement d'une multitude de mesures de protections, un sentiment d'insécurité semble persister chez l'homme contemporain. La perception exagérée de divers risques qui parsèment l'existence humaine, construite par de multiples processus individuels, culturels et sociaux, en représente un motif important. À cet égard, la présente recherche tente de caractériser le traitement du risque terroriste effectué par certains membres de l'exécutif américain de l'administration de George W. Bush. S'échelonnant des attentats du 11 septembre 2001 aux élections législatives du 7 novembre 2006, une analyse descriptive et qualitative est accomplie à l'aide d'outils issus de la théorie de l'amplification sociale des-risques (SARF). Elle examine les signaux de risque transmis par les dirigeants vers la sphère publique afin de cerner les effets atténuateurs ou intensificateurs qui pourraient avoir affecté la perception du risque terroriste dans la population américaine.
Identifer | oai:union.ndltd.org:LAVAL/oai:corpus.ulaval.ca:20.500.11794/20384 |
Date | 13 April 2018 |
Creators | Mignault, Simon-Pierre |
Contributors | Verna, Gérard, Derriennic, Jean-Pierre |
Source Sets | Université Laval |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | mémoire de maîtrise, COAR1_1::Texte::Thèse::Mémoire de maîtrise |
Format | v, 138 f., application/pdf |
Coverage | États-Unis, 2001-2009 |
Rights | http://purl.org/coar/access_right/c_abf2 |
Page generated in 0.0022 seconds