Au cours de la Seconde Guerre mondiale, des représentations furent créées clandestinement à l'intérieur des camps de concentration nazis, de la main de déportés, qu'ils soient artistes professionnels ou amateurs. Dès la libération des camps de concentration, ces images furent collectionnées par des institutions en lien avec l'Holocauste et un certain nombre de publications s'y intéressèrent, entre 1945 et 2003. Reçues à la fois en tant qu'œuvres d'art, témoins, reliques, icônes et documents historiques, l'approche de ces images concentrationnaires comporte certaines difficultés pour l'historien de l'art. L'auteur, à partir de l'historiographie qui entoure ces images clandestines, dresse un portrait des regards, des usages et du statut qui leur sont portés.
Identifer | oai:union.ndltd.org:LAVAL/oai:corpus.ulaval.ca:20.500.11794/18491 |
Date | 11 April 2018 |
Creators | Guertin, Émilie |
Contributors | Prioul, Didier |
Source Sets | Université Laval |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | mémoire de maîtrise, COAR1_1::Texte::Thèse::Mémoire de maîtrise |
Format | viii, 103 f., application/pdf |
Rights | http://purl.org/coar/access_right/c_abf2 |
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