Depuis l'identification des gènes BRCA1/2, les femmes ayant une histoire familiale de cancer du sein peuvent être testées pour savoir si elles ont un risque accru de développer ce cancer. Cette étude vise à comparer certains comportements de santé et la détresse psychologique de femmes qui s'engagent dans le processus d'un test BRCA1/2 (n=640) à ceux de femmes de la population générale (n=9498). Les résultats indiquent que les femmes consultant en oncogénétique sont plus nombreuses à recourir au dépistage, à avoir de saines habitudes de vie et à éprouver de la détresse que les femmes de la population générale. Ces résultats suggèrent que les femmes qui consultent en oncogénétique sont, dans un premier temps, bien informées des recommandations médicales à leur intention et ont, dans un deuxième temps, accès à un dépistage adapté à leur risque. Néanmoins, un soutien psychosocial minimal offert à toutes les femmes s'engageant dans un test BRCA1/2 pourrait être pertinent.
Identifer | oai:union.ndltd.org:LAVAL/oai:corpus.ulaval.ca:20.500.11794/18784 |
Date | 12 April 2018 |
Creators | Bouchard, Karine |
Contributors | Dorval, Michel |
Source Sets | Université Laval |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | mémoire de maîtrise, COAR1_1::Texte::Thèse::Mémoire de maîtrise |
Format | viii, 94 f., application/pdf |
Rights | http://purl.org/coar/access_right/c_abf2 |
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