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La chanson sociale québécoise et nicaraguayenne de 1960 à 1980.

L’étude qui suit a pour le but une juxtaposition des textes de chansons sociales produites au Québec et au Nicaragua de 1960 à 1980. Les auteurs choisis sont : Raymond Lévesque, Georges Dor, Carlos Mejía Godoy et Luis Enrique Mejía Godoy car leurs textes reflètent les inquiétudes et les attitudes populaires de l’époque de la Révolution tranquille et de la fin du régime somoziste, deux périodes cruciales dans l'histoire récente de ces deux collectivités. Il s’agit d’une prise de parole dont la forme reflète le caractère social de chaque nation comme l’explique Raymond Williams et il s’agit de l’utilisation de tactiques qui relèvent d’occasions comme l’explique Michel de Certeau. La chanson sociale, une des formes de la prise de parole, constitue une réaction contre -culturelle contre le bricolage proposé par les producteurs de la culture officielle. Dans les détails que cette étude examine, le texte de la chanson sociale fait découvrir toute une manière de vivre de chaque nation. En effet, la chanson sociale se sert des éléments de la culture officielle de façon à exposer l’essence de ce que la société réellement éprouve. Notre analyse textuelle touche plus particulièrement les thèmes de la pauvreté et de l’espoir pour l’avenir. La juxtaposition Québec-Nicaragua révèle que les auteurs-chanteurs-compositeurs de chaque nation trouvent des moyens de prendre la parole en accord avec les exigences du caractère social de la culture d’origine.

Identiferoai:union.ndltd.org:WATERLOO/oai:uwspace.uwaterloo.ca:10012/4107
Date08 June 2008
CreatorsHastedt, Slawomira
Source SetsUniversity of Waterloo Electronic Theses Repository
LanguageFrench
Detected LanguageFrench
TypeThesis or Dissertation

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