L'invasion microbienne de la cavité amniotique (IMCA) est associée à la grande prématurité et pourrait survenir tôt durant le deuxième trimestre. Le but de mon projet de maîtrise était, d'optimiser la technique de détection de 1TMCA par PCR, de déterminer la prévalence de celle-ci dans une cohorte de patientes recrutées au deuxième trimestre de grossesse, et de vérifier son lien avec l'accouchement prématuré. J'ai également évalué la présence d'inflammation intra-amniotique et buccale de ces patientes et vérifié son association avec l'accouchement prématuré. Mes résultats démontrent que la centrifugation d'un échantillon de liquide amniotique à 700 x g et à 13 000 x g permet la concentration des bactéries testées et que la meilleure technique d'extraction d'ADN génomique bactérien est celle utilisant la trousse commerciale QIAamp DNA Blood. Parmi les 436 patientes de la cohorte, 13% des sujets ont présenté une IMC A par la technique de PCR, mais celle-ci n'était pas plus fréquente chez les femmes ayant accouché prématurément que chez celles ayant accouché à terme. Par contre, une faible concentration de glucose, ainsi qu'une concentration élevée de lactate et de MMP-8 intra-amniotique étaient associés à un risque accru d'accouchement prématuré.
Identifer | oai:union.ndltd.org:LAVAL/oai:corpus.ulaval.ca:20.500.11794/22424 |
Date | 17 April 2018 |
Creators | Desgagné, Josée |
Contributors | Chandad, Fatiha, Bujold, Emmanuel |
Source Sets | Université Laval |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | mémoire de maîtrise, COAR1_1::Texte::Thèse::Mémoire de maîtrise |
Format | x, 69 f., application/pdf |
Rights | http://purl.org/coar/access_right/c_abf2 |
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