Partant principalement de la théorie du comportement planifié, cette étude vise à identifier les déterminants de l'intention des infirmières de demander un consentement au don d'organes à la famille d'un patient suite à son diagnostic de décès neurologique. Quatre-vingts infirmières de Québec ont participé volontairement en répondant à un questionnaire autoadministré. L'analyse de régression multiple indique que l'importance perçue des obstacles/facilitateurs et l'autonomie perçue expliquent 66 % de la variance de l'intention. Les analyses de régression logistique indiquent que les infirmières avec une intention faible/forte se différencient en regard de leur perception que la signature de la carte d'assurance-maladie est un facilitateur et en regard des obstacles perçus suivants : manque de temps, absence de formation en don d'organes et le décès subit du patient. Ces résultats pourraient être utilisés pour définir le contenu d'intervention visant à favoriser, chez les infirmières, l'approche à la famille en vue d'un don d'organes.
Identifer | oai:union.ndltd.org:LAVAL/oai:corpus.ulaval.ca:20.500.11794/22691 |
Date | 18 April 2018 |
Creators | Berger, Julie |
Contributors | Blondeau, Danielle, Gagné, Camille |
Source Sets | Université Laval |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | mémoire de maîtrise, COAR1_1::Texte::Thèse::Mémoire de maîtrise |
Format | x, 166 f., application/pdf |
Rights | http://purl.org/coar/access_right/c_abf2 |
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