Dans le passé, la procédure de configuration de la conduite d'acteur social est confrontée à deux procédures, aussi controversées l'une que l'autre dans la sphère de la formation initiale de l'enseignement reformé de Madagascar. Les actions de légitimation sont effectuées par des procédures compartimentées. Chaque acte est soutenu par un héritage de parcelles de pratique civilisationnelle souvent en contradiction éthique avec d'autres formes de convictions théologico-idéologiques juxtaposées. En conséquence, ce déroulement crée une situation de dissension sociale. Cette situation évolue dans un climat social dominé par une caractéristique incertaine de spécificité civilisationnelle. Toute activité démarre avec un flou de cadre de conduite et se termine par un résultat d'action non –légitimée par le public de l'enseignement. Par conséquent, les résultats d'actions accumulées ne donnent pas une vraie légitimité à la « conduite d'acteur social ».C'est ainsi qu'apparait la nouvelle dynamique sociale générée par le processus de la civilisation osmotique. Elle crée une nouvelle configuration éthique civilisationnelle, cadre de légitimité de la « conduite d'acteur social », Il convient de stabiliser un nouveau cadre de ralliement social. C'est une condition de réussite du changement social. Cette procédure commence par l'adoption d'un nouveau droit social : « le droit à la transculturalité ». S'il revient aux acteurs sociaux de décider par eux-mêmes et pour eux-mêmes leurs propres codes de légitimité collective, ils ne peuvent pas le réaliser sans entrer dans des valeurs transculturelles. La « conduite d'acteur social » ne se comprend en effet sans avoir sa place réelle dans l'accomplissement des causes patriotiques d'intérêt sociétal. Etant donné que cette condition de légitimation, vise tout autant à façonner une ascension sociale collective qu'individuelle. Ensuite, entrer dans un mécanisme de changement social ne se comprend, sans adoption des valeurs potentielles du fihavanana. Ce cadre de ralliement social authentiquement malgache, détermine la place de la « conduite d'acteur social » dans le rouage de la coresponsabilité et de la sociabilité. De toutes manières, la conduite d'acteur sociale aurait-elle un sens si elle n'apportait pas une action précise pour la collectivité ? / In past, the procedure of configuration of the “practice of social actor” is confronted with two procedures, so controversial the one as the other one in the sphere of the initial training of the education re-formed by Madagascar. The actions of legitimization are made by divided procedures. Every act is supported by an inheritance of plots of land of civilizational practice often in ethical contradiction with the other forms of juxtaposed théologico-ideological convictions. Consequently, this progress creates a situation of social dissension. This situation evolves in a social climate dominated by an uncertain characteristic of civilizational specificity. Any activity starts with a vagueness of frame of behavior and ends by a result of action not - legitimized by the public of the education. Consequently, the results of accumulated actions do not give a true legitimacy to the «practice of social actor ".And so appears the new social dynamics generated by the process of the o smotic civilization. It creates a new civilizational ethical configuration, a frame of legitimacy of the «practice of social actor", it is advisable to stabilize a new frame of social reunification. It is a condition of success of the social change. This procedure begins with the adoption of a new labor rigth « cross-culturally right ". If it returns to the social actors to decide by themselves and for themselves on their own codes of collective legitimacy, they cannot realize it without entering cross-cultural values. The «practice of social actor" indeed understands without having his real place in the fulfillment of the patriotic causes of societal interest. Given that this condition of legitimization, aims just as much at shaping a social collective ascent that individualThe «practice of social actor" indeed understands without having its real place in the fulfillment of the patriotic causes of societal interest. Given that this condition of legitimization, aims just as much at shaping a social collective ascent that individual. Then, to enter a mechanism of social change understands, without adoption of the potential values of the fihavanana. This frame of authentically Malagasy social reunification, determines the place of the «practice of social actor" in the cog of the coresponsibility and the sociability. Anyway, “practice of social actor” would have a sense if it did not bring a precise action for the community?Words-keys, practice of social actor, social ascent, osmotic civilization, frame(executive) of social reunification, social change, collective legitimacy, cross-culturally right, fihavanana, social cohesion, social configuration, osmotism, conflict of plot of land of civilizations, Malagasy reformed Protestant education, missionary.
Identifer | oai:union.ndltd.org:theses.fr/2010PEST0003 |
Date | 29 January 2010 |
Creators | Rakotoarivelo, Anselme |
Contributors | Paris Est, Pariat, Marcel |
Source Sets | Dépôt national des thèses électroniques françaises |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | Electronic Thesis or Dissertation, Text |
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