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A self-determined perspective on organizational politics and work outcomes : exploring individual and contextual dynamics

L’objectif de la recherche (dans le cadre de trois études empiriques) est d’expliquer comment la perception du contexte organisationnel politique peut être mobilisée pour améliorer la performance et la pro-activité des employés et pour réduire leurs intentions de démissionner. Notre approche théorique s’inscrit dans la théorie de l’auto-détermination (Deci & Ryan, 2000) et s’appuie sur la théorie de la conservation des ressources (Hobfoll, 2002) ainsi la théorie dite de « Human Agency » (Bandura, 2006), et la science de la psychologie positive (Seligman & Csikszentmihalyi, 2014). Une étude quantitative est menée au Pakistan pour évaluer les conceptualisations formulées. Nos résultats révèlent que les employés ayant un capital psychologique élevé développent de manière durable des comportements conduisant à la performance et qu’ils demeurent proactifs dans des contextes organisationnels perçus comme fortement politiques. En même temps, ces employés subissent une vulnérabilité psychologique qui les pousse à démissionner. A l’opposé, la perception d’un contexte organisationnel politique offre aux employés politiquement doués une source d’opportunités qui satisfait leurs besoins psychologiques tout en maintenant leurs proactivités. Enfin, en prenant en compte les effets motivationnels du contexte organisationnel politique, nous avons trouvé que ce dernier gêne l’intériorisation de la motivation extrinsèque au travail. En conclusion, l’idée que les jeux politiques ne peuvent pas être éliminés dans les organisations, nous suggérons aux managers d’équiper les employés de ressources psychologiques et sociales afin d’obtenir un fonctionnement optimal à tous les niveaux / This dissertation (in a series of three empirical studies) seeks to explicate how perceived politics in organizations can be used for accomplishing effective employee performance and proactivity, and to lower employees’ intentions to quit. We ground our theoretical frameworks in self-determination theory (Deci & Ryan, 2000) and also borrow support from conservation of resource theory (Hobfoll, 2002), human agency (Bandura, 2006), and the science of positive psychology (Seligman & Csikszentmihalyi, 2014). A quantitative survey was conducted in Pakistan to assess the proposed conceptualizations. Our findings reveal interesting patterns of relationships. We find employees with high psychological capital hold a sustainability demeanor in their performance and proactive behavior, when encountering high perceived politics. At the same time, they experience a psychological vulnerability that drives them to quit. On the contrary, perceived politics presents politically skilled employees an opportunistic / challenging turf that satisfies their innate psychological needs and uphold their proactive activities. Lastly, with regard to the motivational effects of perceived politics, we find that perceived politics hinders the internalization of extrinsic motivation at work. We conclude that employees are an integral part of an organization constituency and their well-being implies an organization’s sustainability. Since, politics cannot be eliminated we suggest managers to equip employees with psychological and social resources for the sake of optimal functioning at all levels

Identiferoai:union.ndltd.org:theses.fr/2016AIXM1029
Date07 September 2016
CreatorsAqsa, Aqsa
ContributorsAix-Marseille, Lacaze, Delphine
Source SetsDépôt national des thèses électroniques françaises
LanguageEnglish
Detected LanguageFrench
TypeElectronic Thesis or Dissertation, Text

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