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The intangible aspects of architectural spaces that influence human well-being

En utilisant des approches qualitative and quantitative cette thèse démontre que les aspects intangibles des espaces architecturaux influencent le bien-être humain. Le but est de faire savoir que les espaces intérieurs ont un impact sur le bien-être et que l’architecture peut être considérée comme une solution pour satisfaire les besoins des usagers.
Dans la première étude, l’approche qualitative est explorée en utilisant la narration pour identifier les aspects intangibles des espaces intérieurs qui affectent le bien-être. Une discussion s’articule autour du Modèle de Réponses Expérientielles des Humains (Model of Human Experiential Responses to Space) et de son importance comme outil pour déterrer les caractéristiques environnementales qui influencent le bien-être et qui peut être utile pour les professionnels du design. Les résultats démontrent que 43 catégories sont interprétées comme étant des aspects intangibles et servent de canevas pour trois autres études. Les résultats démontrent que certaines caractéristiques environnementales similaires dans les résidences et les bureaux augmentent le sentiment de satisfaction et de bien-être.
Dans la deuxième étude, une approche quantitative est explorée en utilisant les neurosciences et l’architecture afin de mesurer comment les espaces architecturaux affectent le bien-être. Le concept de neuroscience / environnement / comportement est utilisé où huit corrélats neuroscientifiques (Zeisel 2006) sont investigués afin de mesurer les effets du cerveau sur les espaces architecturaux. Les résultats démontrent que l’environnement peut affecter l’humeur, le niveau d’attention et le niveau de stress chez les humains et peut également augmenter leur performance.
Les deux études contribuent aux connaissances que les caractéristiques environnementales affectent l’humeur et le niveau de satisfaction de la même façon dans les espaces résidentiels et dans les espaces de bureaux. Un bon environnement qui énergise les employés peut affecter leur performance au travail de façon positive (Vischer 2005). / This research uses qualitative and quantitative approaches in order to demonstrate how intangible aspects of architectural spaces influence human well-being. The goal is to increase awareness that interior spaces do impact human well-being and that architecture can be regarded as a solution to satisfy space users’ needs.
In the first study a qualitative approach is explored through narrative inquiry in order to identify intangible aspects of residential and office spaces that affect human well-being. A discussion is built around the Model of Human Experiential Responses to Space and its purpose as a tool to unearth environmental characteristics that enhance well-being and can be of value to design professionals. Results show that 43 categories are interpreted as being intangible aspects of architectural spaces that influence human well-being. These categories are then used for three other studies to find out if there are any underlying regularities in environmental characteristics that affect user moods and feelings. Results show that similar environmental characteristics heighten sense of satisfaction and well-being for both residential and office space users.
In the second study, a quantitative approach is applied to neurosciences and architecture in order to measure how architectural spaces influence human well-being. Neuroscience and environment / behaviour concepts are used where eight brain-based neuroscientific correlates (Zeisel 2006) are investigated in order to measure brain effects on architectural spaces. Neuroscientific outcomes reveal that the environment can affect human moods, ability to focus attention and stress levels and may also heighten task performance.
Both studies contribute to knowing how space users feel environmental characteristics affect their mood and satisfaction. They reveal that people’s moods may be affected similarly in residential or office space settings and that a good environment that energizes employees will affect their work performance in a positive way (Vischer 2005).

Identiferoai:union.ndltd.org:umontreal.ca/oai:papyrus.bib.umontreal.ca:1866/11897
Date11 1900
CreatorsCôté, Odette
ContributorsVischer, Jacqueline
Source SetsUniversité de Montréal
LanguageEnglish
Detected LanguageFrench
TypeThèse ou Mémoire numérique / Electronic Thesis or Dissertation

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