La Colombie possède des institutions politiques et judiciaires solides ainsi qu’une constitution parmi les plus avancées et des plus complètes d’Amérique latine. Cependant, parallèlement à cette démocratie qui semble encourager une plus grande participation citoyenne depuis 1990 et une garantie des droits plus élargie, il existe une situation de violence extrême ciblée envers les citoyens mobilisés. Cette perception anti-conflit social de la démocratie va particulièrement influencer la façon dont les mouvements contestataires seront traités et reconnus et aussi, légitimera la sécurisation des espaces de contestation comme les mobilisations pacifiques. Ainsi, dans un contexte paradoxal comme la Colombie où le conflit social est endigué, qu’advient-il du rôle participatif des nouveaux mouvements sociaux dans la construction de la démocratie et de la citoyenneté?
Identifer | oai:union.ndltd.org:uottawa.ca/oai:ruor.uottawa.ca:10393/32301 |
Date | January 2015 |
Creators | Amélie Laurin-Gravel |
Contributors | Doran, Marie-Christine |
Publisher | Université d'Ottawa / University of Ottawa |
Source Sets | Université d’Ottawa |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | Thesis |
Page generated in 0.0017 seconds