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The influence of context on the recognition of objects in healthy controls and schizophrenia

The scope of this thesis is to investigate the underlying brain activity of the influence of scene context of the recognition of ambiguous and unambiguous objects. Electrophysiology studies were used, and event-related potentials (ERPs) were analyzed in response to target objects presented in consistent and neutral scenes. This thesis is manuscript-based, with two primary studies. The first study focuses on the influence of scene context on the recognition of ambiguous and unambiguous objects in healthy subjects. The findings from this study indicate that context has a greater influence over ambiguous objects, evidenced by increased ERP amplitudes and a greater increase in recognition from neutral to consistent scenes for ambiguous objects compared to unambiguous objects. In addition, context appears to exert its influence by causing ambiguous objects to be treated as unambiguous objects. Finally, the influence of context began early, during stages of object perceptual analysis.The second study focuses on the influence of scene context on the recognition of ambiguous and unambiguous objects in subjects with schizophrenia, compared to a matched control group. The findings for this study indicate, once again, that the influence of context is stronger for ambiguous objects and that it exerts its influence during early stages of perceptual analysis. Subjects with schizophrenia were revealed to have a deficit in processing scene context, as the ERP amplitudes of the effect of context were smaller in the schizophrenia group. In addition, the effect of context correlated with the positive symptoms of the illness, specifically delusions, in that individuals with more positive symptoms showed a greater effect of context. Overall this study provides evidence that individuals with schizophrenia use context to in an abnormal way, compared to healthy controls. / L'objectif de cette thèse consiste en l'étude des activités cérébrales reflétant l'influence qu'exerce la présence de contexte sur la reconnaissance d'objets ambigus et non-ambigus. L'activité électrophysiologique et les potentiels évoqués en réponse à des objets cibles présentés dans les scènes congruentes et neutres ont été enregistrés et analysés. Cette thèse comprend deux manuscrits décrivant chacune une étude. La première étude examine l'influence du contexte de la scène sur la reconnaissance d'objets ambigus et non-ambigus chez des sujets sains. Les résultats de cette étude indiquent un plus grand effet de contexte avec les objets ambigus, tel que démontré par de plus grands effets de contexte sur les potentiels évoqués et une plus forte augmentation du taux de reconnaissance des objets lorsque présentés dans des contextes congruents. L'effet de contexte se manifeste de manière à rendre les activités de reconnaissance d'objets ambigus semblables aux activités de reconnaissance d'objets non-ambigus. De plus, l'effet de contexte se manifeste très tôt, dès les premières étapes de l'analyse perceptive de l'objet.La deuxieme étude porte sur l'influence du contexte de la scène sur la reconnaissance des objets ambigus et non-ambigus chez les sujets atteints de schizophrénie et chez des sujets contrôles. Les résultats de cette étude montrent, une fois de plus, que l'influence du contexte est plus forte avec les objets ambigus et que le contexte exerce son influence au cours des premières étapes de l'analyse perceptive. Ces effets de contexte se sont toutefois avérés de plus petite magnitude chez les sujets atteints de schizophrénie. De plus, l'effet de contexte sur les potentiels évoqués corrélaient avec les symptômes positifs de la schizophrénie, en particulier avec le niveau de délires des patients. Les personnes avec le plus de symptômes positifs ont montré un plus grand effet de contexte. Globalement, cette étude démontre que les personnes atteintes de schizophrénie utilisent le contexte de façon anormale.ie, en particulier dans les délires. Les personnes ayant plus de symptômes positifs ont montré un plus grand effet de contexte. Globalement, cette étude fournit des preuves que les personnes atteintes de schizophrénie utilisent le contexte de façon irregulier, par rapport aux sujets sains.

Identiferoai:union.ndltd.org:LACETR/oai:collectionscanada.gc.ca:QMM.121567
Date January 2014
CreatorsMaguire, Melissa
ContributorsMathieu Bernard-Brodeur (Internal/Supervisor)
PublisherMcGill University
Source SetsLibrary and Archives Canada ETDs Repository / Centre d'archives des thèses électroniques de Bibliothèque et Archives Canada
LanguageEnglish
Detected LanguageFrench
TypeElectronic Thesis or Dissertation
Formatapplication/pdf
CoverageMaster of Science (Integrated Program in Neuroscience)
RightsAll items in eScholarship@McGill are protected by copyright with all rights reserved unless otherwise indicated.
RelationElectronically-submitted theses

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