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Contributions to the study of host-pathogen interactions between Drosophila melanogaster and Seatia marcescens / Contributions à l’étude des interactions hôte-pathogène entre Drosophila melanogaster et Serratia marcescens

L’étude des interactions hôte-pathogène permettra de mieux comprendre les bases des maladies infectieuses. Durant ma thèse, j’ai étudié les interactions entre l’organisme modèle Drosophila melanogaster et la bactérie pathogène à Gram négatif Serratia marcescens (S.m). Cette bactérie est capable de tuer les mouches en moins de 24 heures une fois introduite directement dans l’hémolymph. Au contraire, les mouches peuvent survivre plusieurs jours après avoir ingéré du Serratia malgré les dommages à l’épithélium intestinal qui en résulte. Le travail de ma thèse a mené à comprendre la virulence des vésicules de la membrane externe purifiés de S.m et injectés dans la mouche. En plus, nous avons mis en évidence deux gènes qui jouent un rôle dans la virulence de la bactérie en infection intestinale, notamment dans la capacité de S.m à endommager les cellules intestinales. Enfin, nous avons identifié plusieurs gènes impliqués dans un mécanisme de résilience de la drosophile aux infections intestinales par S.m. / The study of host-pathogen interactions will provide a better understanding of the basics of infectious diseases. During my thesis, I studied the interactions between the model organism Drosophila melanogaster and the Gram-negative pathogen Serratia marcescens (S.m). This bacterium is capable of killing flies in less than 24 hours once introduced directly into the hemolymph. On the contrary, flies can survive several days after ingesting Serratia despite he resulting damages to the intestinal epithelium. The work of my thesis led to an understanding of the virulence of the outer membrane vesicles purified from S.m and injected into the fly. In addition, we have identified two genes that play a role in the virulence of the bacterium in the intestinal infection model, particularly in the ability of S.m to damage the intestinal cells. Finally, we have identified several Drosophila genes involved in a resilience mechanism to intestinal infections by S.m.

Identiferoai:union.ndltd.org:theses.fr/2018STRAJ093
Date04 December 2018
CreatorsSina Rahme, Bechara
ContributorsStrasbourg, Ferrandon, Dominique, Hoffmann, Jules
Source SetsDépôt national des thèses électroniques françaises
LanguageEnglish
Detected LanguageEnglish
TypeElectronic Thesis or Dissertation, Text

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