Ma thèse porte sur l'approche des institutions de développement international en ce qui a trait à la fracture numérique entre pays industrialisés et pays en voie de développement (PVD). Les propositions du Programme des Nations Unies pour le développement, du G8 et de l'Agence canadienne pour le développement international sont examinés et mis en perspectives à partir de l'exemple de l'Égypte. Mon hypothèse est que la définition des besoins des PVD non seulement leur échappe au profit des organisations internationales mais encore que celle-ci correspond aux besoins des pays développés. Contraints dans une logique qui ne leur convient pas, les PVD utilisent toute une série de manoeuvres dilatoires qui leur permettent d'obtenir les fonds internationaux et de conserver leur équilibre politique. Les gagnants sont les groupes privilégiés des PVD et les aventuriers capitalistes du nord. Les résultats sont pauvres en matière de développement.
Identifer | oai:union.ndltd.org:uottawa.ca/oai:ruor.uottawa.ca:10393/26585 |
Date | January 2004 |
Creators | Bitar, Wafa |
Publisher | University of Ottawa (Canada) |
Source Sets | Université d’Ottawa |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | Thesis |
Format | 116 p. |
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