Deux articles forment la thèse. Le premier décrit le développement et la validation de l’Échelle communautaire d’attitude envers les personnes souffrant de maladie mentale (APSOM). L’instrument comprend 12 vignettes suivies d’une échelle Likert, mesurant les contacts sociaux désirés avec les personnes dépeintes. Il compte trois facteurs (Contact familial. Rejet social et Implication). Dans le deuxième article, l’APSOM est administré à 407 adultes afin d’évaluer l’influence de quatre variables (i.e., le type de maladie mentale des personnes décrites, leur sexe, leur conformité aux stéréotypes sexuels et le sexe des répondants). Des ANCOVAs à mesures répétées révèlent que les répondants sont plus favorables aux individus obsessifs-compulsifs qu’aux dépressifs et aux schizophrènes lors de contacts impersonnels et familiaux. Néanmoins, ils s’impliquent moins auprès des premiers. Les personnes dépressives déviant des stéréotypes sexuels sont jugées plus négativement. Les femmes sont plus tolérantes, sauf pour les contacts familiaux. Enfin, l’intolérance s’accroît avec l’intimité des contacts.
Identifer | oai:union.ndltd.org:LAVAL/oai:corpus.ulaval.ca:20.500.11794/46197 |
Date | 18 December 2021 |
Creators | Lafleur, Diane |
Contributors | Lavoie, Francine |
Source Sets | Université Laval |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | thèse de doctorat, COAR1_1::Texte::Thèse::Thèse de doctorat |
Format | xviii, 373 feuillets, application/pdf |
Coverage | Québec (Province) Québec, Agglomération de. |
Rights | http://purl.org/coar/access_right/c_abf2 |
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