La constitution de la concept de la lettre est conséquence du dernier enseignement lacanien. Quant à l’origine de la lettre, elle trouve ses cordonnées dans les premiers œuvres de Freud, c’est à dire, la trace mnésique. Nous avons examiné séparément deux périodes :la trace mnésique dans les deux topiques de Freud; la lettre(ou parfois la trace) dans l’enseignement de Lacan.Pour Freud, la trace concerne trois questions fondamentales dans la théorie et pratique de la psychanalyse : 1 Pour la premier topique, la trace mnésique du premier couche de système ics, ne peut pas distinguer avec la représentation de chose ;2 Pour la deuxième topique, la relation primordiale de signes de perception à Moi, ainsi que la représentation de mot, est problématique ;3 Après la construction de la théorie dans le Totem et Taboo, comment la trace comme une facteur de fixation fonctionne dans la fixiabilité de libido, ce qui touche les quatres problème fondamental de la pratique analytique: le refoulement originaire, la construction de fantasme originaire, le complexe d’oedipe, et la fin de la cure analytique.Pour Lacan, après son introduction de la théorie structurelle, on trouve que par certains termes, (phallus imaginaire, phallus symbolique, S(Ⱥ), et objet a), Lacan essaie de cerner la lettre comme réelle afin d’aboutir à l’établissement de son écriture du réel (le mathème, la logique, la théorie des ensembles et enfin la théorie des nœuds).Ce qui est une science de la lettre.D’un côté, cette écriture trouve son application dans la cure psychanalytique, laquelle est une praxis, une praxis de transformer la lettre traumatique à la lettre contingente. Ce travail analytique renforce l’amur de la castration.De l’autre côté, la clinique de la lettre de la névrotique se différencie de celui de psychotique. La première rencontre ces obstacles devant la contingence. La deuxième s’engage à suppléer la faute de Nom du père, la fonction de la lettre se constitue des différents phénomènes élémentaires. L’examen de l’œuvre de Song Shipeng(un cas de paraphrénie chinoise ) et la relecture de Schreber , nous servent à l’élaboration de la clinique de la lettre dans le cas psychotique. / The notion of the letter constitutes the outcome of Lacan’s last teaching. The origin of the term ‘letter’ can be traced in the first works of Freud: that is, the mnemic-trace.we have investigated separately two periods: the mnemic-trace in the two Freuds’ topographies; the letter(or sometimes the trace) in the teaching of Lacan.For Freud, the mnemic-trace involves three fundamental questions in the theory and practice of psychoanalysis:1 for the first topography, the mnemic-trace in the first stratum of the unconscious system, cannot distinguish with the representation of the thing. ;2 for the second topography, the primordial relation of the signs of perception with the Ego, and the representation of the word, is problematical;3 after the construction of the theory in the Totem and Taboo, how the mnemic-trace, as the factor of the fixation, works in the fixiability of the libido, this question touches the others four fundamental questions in the analytical practice: the original repression, the construction of the original phantasm, the Oedipus complex and the end of the analytical cure.For Lacan, after his introduction of structural theory, Lacan tries to define the letter as the Real in order to arrive at the establishment of its writing of the Real (the mathéme, the Logic, the Sets theory and finally the theory of knots). This writing is a science of the letter.On one hand, this writing finds its application in the psychoanalytic cure, which is a kind of praxis, praxis to transform the traumatic letter to the contingent letter. This analytical work reinforces the wall of castration.On the other hand, the clinic of the letter of the neurotic differs from that of psychotic. The first is impeded in front of the contingency. The second stretched himself to suppléer the fault of Name of the Father, the function of the letter constitutes the different elementary phenomena of psychosis. While the examination of Song Shipeng’s works (a Chinese case of paraphrenia) and the re-reading of Schreber, and their stabilization through writing in particular, allow us to elaborate the clinic of the letter in the psychotic case.
Identifer | oai:union.ndltd.org:theses.fr/2018PA080013 |
Date | 25 January 2018 |
Creators | Zhang, Tao |
Contributors | Paris 8, Hulak, Fabienne |
Source Sets | Dépôt national des thèses électroniques françaises |
Language | French |
Detected Language | English |
Type | Electronic Thesis or Dissertation, Text |
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