Lors du chargement d'un REP, une erreur de positionnement d'assemblages peut diminuer significativement l'écart à la criticité. L'incident de DAMPIERRE 4-18 a démontré que la surveillance nucléaire actuelle, basée sur les variations du taux de comptage au niveau de détecteurs ex-core, ne permettait pas de garantir la détection d'une telle erreur. La possibilité d'y parvenir par une analyse plus fine des signaux disponibles a donc été examinée. Les méthodes de bruit neutronique ont particulièrement retenu notre attention. La partie expérimentale de ce travail a été consacrée à leur application à un réacteur de recherche. Cependant, il se révèle impossible de les appliquer à l'instrumentation des REP. Différentes positions des détecteurs ont alors été explorées via des calculs de transport Monte Carlo donnant accès à la provenance des neutrons. Les résultats montrent que la technologie actuelle ne permet pas d'envisager une solution neutronique pour surveiller le chargement.
Identifer | oai:union.ndltd.org:CCSD/oai:tel.archives-ouvertes.fr:tel-00009682 |
Date | 07 April 2005 |
Creators | Verdier, A. |
Publisher | Université Claude Bernard - Lyon I |
Source Sets | CCSD theses-EN-ligne, France |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | PhD thesis |
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