Return to search

Understanding persistent negative symptoms in first episode psychosis: Implementing neurocognitive and neuroanatomical approaches

Background. Negative symptoms (alogia, blunted affect, amotivation, reduced social drive) are a core feature of psychotic disorders. In comparison to positive symptoms, negative symptoms do not respond well to treatment, thus becoming persistent in a large percentage of psychosis patients. Persistent negative symptoms (PNS) remain an unmet therapeutic need, in part, due to our lack of understanding of the cognitive and neural correlates of these symptoms. Furthermore, most studies ill investigate PNS in patients with enduring schizophrenia, which introduces confounding factors. Hence, there is a need for a better understanding of these symptoms in patients with a first episode of psychosis (FEP).Purpose. Our overall aim was to define and characterize the cognitive and neural correlates of persistent negative symptoms identified in patients with first episode psychosis. Methods. All FEP patients were treated at the Prevention and Early Intervention Program for Psychosis (PEPP) at the Douglas Mental Health University Institute in Montreal. First, the heuristic value of various PNS definitions applied in the literature was explored. The relationship between PNS definitions and functional outcome was also explored. The most clinically relevant PNS definition was then applied to subsequent studies. Secondly, memory ability was examined in three memory domains including verbal, visual and working memory. Memory was compared at baseline in FEP patients with PNS and without PNS. In addition, the trajectory of memory ability was assessed at a 12-month follow-up. Lastly, white matter microstructure was investigated in FEP patients identified as having PNS. A region of interest analysis was applied to assess fronto-temporo-limbic white matter tracts. Fractional anisotropy was measured in each tract and compared between PNS patients, non-PNS and healthy controls. Results. Persistent negative symptoms were defined as having a score of 3 or greater in at least 1 global subscales of the Scale for the Assessment of Negative Symptoms. In addition, FEP patients were required to have minimal positive, depressive, and extrapyramidal symptoms. Patients whose negative symptoms at the above-mentioned level of severity persisted beyond month 3 of their first year of treatment in the PEPP program met the criteria for PNS. Applying this definition allowed us to determine the prevalence of PNS in FEP, which was found to be 27%. Further, patients with PNS had poorer functioning at month 12 than those without PNS. All FEP patients were administered neuropsychological tests with focus being placed on memory ability in those affected with PNS. Results suggested that in comparison to patients without PNS and healthy controls, patients affected by PNS had poorer verbal memory ability. In addition, follow up memory scores indicated that memory impairments in PNS were stable through the first year. Lastly, fractional anisotropy was shown to be lower in both patient groups compared to healthy controls. While the non-PNS demonstrated significantly lower FA values in the uncinate fasciculus compared to healthy controls, lower fornix FA was found in the PNS group compared to healthy controls. Conclusions and significance.Our studies highlight a 27% prevalence of PNS in first episode psychosis, supporting previous assumptions of a greater prevalence of PNS in comparison to deficit syndrome (with a prevalence estimated at 15%). Patients with PNS present with: poorer functional outcome, greater verbal memory deficits and impaired white matter integrity in the limbic system. Thus, applying the PNS definition in future studies may help further elucidate the impact of negative symptoms in FEP, by providing a more homogenous subgroup of patients who are more severely impaired than patients without PNS. / Contexte. Les symptômes négatifs (réduction de langage parlé, émoussement de l'affect, amotivation, retrait social) sont au cœur des troubles psychotiques. Contrairement aux symptômes positifs, les symptômes négatifs sont peu influencés par le traitement pharmacologique. Les symptômes négatifs persistants (SNP) sont encore peu ciblés par des nouveaux traitements, en partie, dû à notre connaissance limitée des corrélats neuronaux et cognitifs de ces symptômes. Il est pertinent de mieux comprendre les symptômes négatifs en début d'évolution chez les patients présentant un premier épisode psychotique. Objectif. L'objectif global de notre étude est de définir et caractériser les corrélats neuronaux et cognitifs des symptômes négatifs persistants identifiés chez les patients présentant un premier épisode psychotique. Méthode. Les patients présentant un premier épisode psychotique ont été traités au Programme d'évaluation, d'intervention et de prévention des psychoses, (PEPP) à l'institut universitaire de santé mentale Douglas à Montréal. La valeur heuristique de plusieurs définitions des SNP employée dans la littérature a été investiguée. La relation entre les définitions des SNP et l'évolution fonctionnelle a également été explorée. La définition la plus cliniquement pertinente a été appliquée aux études subséquentes. Ensuite, la capacité de la mémoire a été examiné pour son lien possible avec les symptômes négatifs. Spécifiquement la performance mnésiques des patients avec ou sans SNP a été comparée au niveau de base. De plus, la trajectoire de la capacité de la mémoire a été évaluée après 12 mois de suivi. Finalement, la microstructure de la matière blanche des patients avec SNP a été examinée. Une approche par régions d'intérêt a été préconisée afin d'évaluer les faisceaux fronto-temporo-limbiques de la matière blanche. Résultats. Un score de 3 ou plus sur au moins une des sous-échelles globales de l'échelle d'évaluation des symptômes négatifs (SANS) représentait un des critères pour définir les symptômes négatifs persistants. De plus, les patients devaient avoir peu de symptômes positifs, dépressifs ou extrapyramidaux. Finalement, les patients dont les symptômes négatifs persistaient au-delà de 3 mois dans leur première année de traitement dans le programme, répondaient aux critères de sélection pour les SNP. En appliquant cette définition nous avons observé une prévalence des SNP de 27% chez les patients. De plus, les patients avec SNP avaient un fonctionnement plus faible après 12 mois de suivi. Les tests neuropsychologiques administrés à tous les patients ont mis l'accent sur la capacité de la mémoire. Les résultats suggèrent que les patients avec SNP, par rapport aux patients sans SNP et les sujets sains, avaient une capacité de mémoire verbale plus faible. De plus, le suivi des scores de mémoire ont indiqué que les troubles de la mémoire associés aux SNP étaient stables pendant la première année. Enfin, l'AF s'est avérée plus faible dans les deux groupes de patients (avec et sans SNP), comparée aux sujets sains. De plus, les patients sans SNP ont obtenu des valeurs de AF significativement plus faibles dans le faisceau unciné que les contrôles sains, alors que les patients avec SNP ont en plus obtenus des valeurs de FA plus faibles dans le fornix.Conclusions. Nos études démontrent une prévalence des SNP de 27% chez les patients présentant un premier épisode psychotique, ce qui confirme des recherches antérieures. Les patients atteints des SNP sont caractérisés par un fonctionnement plus faible, une capacité de mémoire verbale plus faible et des valeurs de AF plus faibles dans les régions limbiques. Ainsi, l'application de la définition des SNP dans de futures études pourrait aider à élucider d'avantage l'impact des symptômes négatifs lors du premier épisode psychotique, en identifiant de façon précoce, un groupe plus homogène de patients qui présentent une issue clinique et fonctionnelle moins favorable.

Identiferoai:union.ndltd.org:LACETR/oai:collectionscanada.gc.ca:QMM.121181
Date January 2014
CreatorsHovington, Cindy
ContributorsMartin Lepage (Supervisor)
PublisherMcGill University
Source SetsLibrary and Archives Canada ETDs Repository / Centre d'archives des thèses électroniques de Bibliothèque et Archives Canada
LanguageEnglish
Detected LanguageFrench
TypeElectronic Thesis or Dissertation
Formatapplication/pdf
CoverageDoctor of Philosophy (Integrated Program in Neuroscience)
RightsAll items in eScholarship@McGill are protected by copyright with all rights reserved unless otherwise indicated.
RelationElectronically-submitted theses

Page generated in 0.0028 seconds