Anxiety and depression among participants in an early ovarian cancer diagnosis program

Background: Despite its low incidence, ovarian cancer is associated with very poor prognosis and this is common knowledge in the general population. There is limited knowledge about the levels of anxiety and depression in women who undergo diagnostic testing for suspected ovarian cancer. The setting of this study was the DOvE (Diagnosing Ovarian cancer Early) project, an ongoing study providing cancer antigen (CA125) testing and trans-vaginal ultrasound (TVUS) at dedicated diagnostic centres in Montreal for women with symptoms that have been found to be associated with ovarian cancer. Objectives: Our aim was to examine whether taking part in this program had an impact on depression and anxiety from baseline; in particular, we wanted to assess whether a false positive test had a persistent effect, defined as lasting 4 months or more, after women had been informed that the test was negative. Methods: 706 symptomatic women, 50 years or older, who took part in DOvE between July 2010 and September 2012, completed psychological questionnaires, the Beck Anxiety Inventory (BAI) and the Beck Depression Inventory-II (BDI-II) at two key points in the diagnostic process: at the clinic immediately before evaluation, and at follow-up (FU) visit, 4 months later. Results: While anxiety rates and scores were similar at initial assessment and follow-up visit, we saw a decrease in depression rates and scores over time (p<.001). There were no significant differences on demographic variables and anxiety/depression scores between the patients testing positive in the absence of disease (false positives) and those with negative results correctly diagnosed (true negatives). Women who had true negative results (77%) had a significantly lower score for depression at FU than at the beginning of the program (p<.001). Conclusions: Overall, taking part in DOvE did not appear to negatively affect women's medium term anxiety and depression scores. Moreover, participants appeared to benefit from the reassurance provided by negative result, which is of relevance in the context of a low incidence disease with a reputation for poor outcome. / Mise en Contexte: Malgré sa faible incidence, le cancer de l'ovaire est associé avec de très mauvais pronostique et c'est de notoriété publique dans la population générale. Les connaissances sont limitées sur les niveaux d'anxiété et de dépression chez les femmes qui subissent des tests de diagnostic pour la suspicion du cancer de l'ovaire. Cette étude a été menée dans le cadre de l'essai clinique DOvE (Diagnostic du cancer de l'ovaire précoce), un projet en cours fournissant le test de l'antigène du cancer (CA125) et l'échographie trans-vaginale (ÉTV) dans les centres de diagnostics spécialisés à Montréal, pour les femmes présentant des symptômes qui ont été considérés associée à un cancer de l'ovaire. Objectifs: Notre objectif était d'examiner si la participation à ce programme a eu un impact sur la dépression et l'anxiété initiale ; nous avons voulu évaluer en particulier si un test faussement positif a eu un effet persistant, définie comme une durée de 4 mois ou plus, après que les femmes ont été informées que le test a été négatif. Méthodes: 706 femmes symptomatiques, ayant 50 ans ou plus, qui ont participé à DOvE entre juillet 2010 et septembre 2012 ont été invitées à remplir des questionnaires psychologiques, le Beck Anxiety Inventory (BAI), le Beck Depression Inventory-II (BDI-II) en deux points clés dans le processus de diagnostic: à la clinique, immédiatement avant l'évaluation et à la visite de suivi, 4 mois plus tard. Résultats: Bien que les taux d'anxiété et les scores étaient similaires lors de l'évaluation initiale et la visite de suivi, nous avons vu une diminution du taux et du niveau de dépression dans le temps (p <.001). Il n'y avait pas de différence significative sur les variables démographiques et les scores d'anxiété / dépression entre les patientes testées positives dans l'absence de la maladie (faux positifs) et celles avec des résultats négatifs correctement diagnostiqués (vrais négatifs). Les femmes qui avaient de vrais résultats négatifs (77%) avaient un score significativement plus faible de la dépression au suivi qu'au début du programme (p <.001).Conclusions: Globalement, faire partie du DOvE ne semble pas affecter négativement au moyen terme les scores d'anxiété et de dépression des femmes. En outre, les participants ont semblé bénéficier de l'assurance fournie par un résultat négatif, ce qui donne de la pertinence dans le contexte d'une maladie de faible incidence avec une réputation de mauvais résultats.

Identiferoai:union.ndltd.org:LACETR/oai:collectionscanada.gc.ca:QMM.121587
Date January 2014
CreatorsGrigorie, Maria Simona
ContributorsLucy Gilbert (Internal/Supervisor), Olga Basso (Internal/Cosupervisor2)
PublisherMcGill University
Source SetsLibrary and Archives Canada ETDs Repository / Centre d'archives des thèses électroniques de Bibliothèque et Archives Canada
LanguageEnglish
Detected LanguageFrench
TypeElectronic Thesis or Dissertation
Formatapplication/pdf
CoverageMaster of Science (Department of Surgery)
RightsAll items in eScholarship@McGill are protected by copyright with all rights reserved unless otherwise indicated.
RelationElectronically-submitted theses

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