Au moyen de l'anthropologie et en suivant une démarche ethnographique, ce mémoire étudie de façon exploratoire les conséquences de la violence sur la dynamique des rapports et des liens sociaux des exilés salvadoriens à Québec. Dans le cadre des théories portant sur la spirale de la violence de Dom Helder Camara et sur le continuum de la violence de Philippe Bourgois et Nancy Scheper-Hughes, il est traité notamment de la violence, des rapports sociaux et des liens sociaux, de l'exil, de la migration en tentant de répondre à des questions telles que: qu'est-ce que la guerre, les Salvadoriens sont-ils des gens violents? La violence est-elle innée chez l'être humain ? Il est aussi question du positionnement de la recherche dans le contexte d'une anthropologie multisituée et de la perspective de l'anthropologie organique. La démarche ethnographique et des concepts tels que la récupération de la mémoire et l'anthropologie visuelle sont également abordés.
Identifer | oai:union.ndltd.org:LAVAL/oai:corpus.ulaval.ca:20.500.11794/20772 |
Date | 16 April 2018 |
Creators | López Valle, Juan Alberto |
Contributors | Labrecque, Marie-France. |
Source Sets | Université Laval |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | mémoire de maîtrise, COAR1_1::Texte::Thèse::Mémoire de maîtrise |
Format | 134 f., application/pdf, application/zip |
Coverage | Salvador, Québec (Province) |
Rights | http://purl.org/coar/access_right/c_abf2 |
Page generated in 0.0027 seconds