La mobilité internationale des travailleurs est perçue comme un facteur de développement pour les États, qu’ils soient d’origine ou d’accueil. Elle est la solution aux carences de compétences et de mains d’œuvres, elle constitue un facteur de transfert et d’acquisition du savoir-faire et de technologie pour les États de même que pour les travailleurs. Cependant, la mobilité internationale des travailleurs révèle un cadre juridique complexe, puisque d’un côté elle est liée à certains droits fondamentaux qui impliquent forcément des conséquences, et d’un autre côté l’usage inapproprié de ses qualifiants prête à la confusion entre les différentes formes de cette mobilité. Toutefois, sa mise en œuvre ne reste pas sans conséquences puisqu’elle implique des effets mitigés pour les trois principaux acteurs : les États, les entreprises et les travailleurs. C’est ce que cette étude propose d’illustrer. / The international mobility of workers is seen as a states development factor, whether it is their home or host. It is an answer to skills deficiencies and labor work. It is an acquisition and transfer factor of knowledge and technology for States and their workforce.However, international mobility reveals a complex legal framework, since on the one hand, it is linked a certain fundamental rights witch necessarily involve consequences, and on the other hand, inappropriate uses of his qualifying it leads to confusion between the different forms of mobility. However, its implementation is not without consequences since it involves mixed effects for the three principal actors: States, companies and workers. That is what this study will illustrate.
Identifer | oai:union.ndltd.org:theses.fr/2016MONTD054 |
Date | 07 December 2016 |
Creators | Dib, Abdelhafid |
Contributors | Montpellier, Siau, Bruno |
Source Sets | Dépôt national des thèses électroniques françaises |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | Electronic Thesis or Dissertation, Text |
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