La littérature canadienne-française s'enrichit de plus en plus au fil des années grâce à l'émergence d'un grand nombre d'écrivaines migrantes venues de tous les horizons: parmi elles, Marie-Célie Agnant avec La dot de Sara et Abla Farhoud avec Le bonheur à la queue glissante. Les deux oeuvres de ces écrivaines exilées dépeignent des relations intergénérationnelles, entre la grand-mère, la mère et la petite-fille. Très souvent, dans le contexte de l'exil, ces liens entre les générations de femmes sont la source de conflits, de difficultés et de ruptures identitaires. Nous souhaitons donc montrer dans cette thèse comment se reconstruit et se maintient l'équilibre entre les trois générations et comment se résolvent et se résorbent les conflits liés à la quête identitaire; pour ce faire, nous prendrons appui sur les avenues théoriques féministes et sur les recherches portant sur l'identité et l'alterité.
Identifer | oai:union.ndltd.org:uottawa.ca/oai:ruor.uottawa.ca:10393/27575 |
Date | January 2007 |
Creators | Prud'homme, Mélanie |
Publisher | University of Ottawa (Canada) |
Source Sets | Université d’Ottawa |
Language | French |
Detected Language | French |
Type | Thesis |
Format | 115 p. |
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