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Étude phyto-écologique de la grosse île au Marteau et de l'île à Samuel, archipel de Mingan, Québec

Grondin, Pierre 21 March 2022 (has links)
Cette étude porte principalement sur la flore, les sols et la végétation de la Grosse île au Marteau et de l'île à Samuel, archipel de Mingan. Elle a été entreprise dans le but de voir si ces îles possèdent les caractéristiques appropriées pour devenir une réserve écologique. Les deux îles contiennent 350 plantes vasculaires dont deux taxons rares : Cirsium foliosum var. minganense et Cypripedium passerinum var. minganense. Elles sont, en plus, le domaine de 60 espèces vasculaires nouvelles pour la Minganie. En outre, elles hébergent 150 bryophytes et 152 lichens dont 29 nouveaux pour le Québec. Les sols, développés sur une roche-mère calcaire, se répartissent en quatre ordres : podzolique, organique, régosolique et gleysolique. L'horizon d'accumulation des sols podzolisés présente des particularités intéressantes : il est mince et noir, et sa teneur en matière organique est très élevée. L'analyse phytosociologique de la végétation, effectuée au moyen de la méthode de Braun-Blanquet (1932), nous a permis de définir 101 unités dont 28 associations, 8 sous-associations, 2 variantes et 63 groupements sans rang hiérarchique déterminé. Elles ont été regroupées en 7 unités physionomiques: la forêt (65,0% de la superficie), la tourbière (11,5%), le marais d'eau douce (0,0%), la lande (12,0%), la falaise (0,0%), le littoral sablo-graveleux (0,9%) et le littoral limoneux (1,4%). Le reste (9,2%) est occupé par le sol nu et l'eau douce. Compte tenu de la grande richesse floristique, phy- tosociologique et esthétique, nous croyons que les deux îles sont propices à l'établissement d'une réserve écologique.
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Étude phyto-écologique de la grosse île au Marteau et de l'île à Samuel, archipel de Mingan, Québec

Grondin, Pierre 21 March 2022 (has links)
Cette étude porte principalement sur la flore, les sols et la végétation de la Grosse île au Marteau et de l'île à Samuel, archipel de Mingan. Elle a été entreprise dans le but de voir si ces îles possèdent les caractéristiques appropriées pour devenir une réserve écologique. Les deux îles contiennent 350 plantes vasculaires dont deux taxons rares : Cirsium foliosum var. minganense et Cypripedium passerinum var. minganense. Elles sont, en plus, le domaine de 60 espèces vasculaires nouvelles pour la Minganie. En outre, elles hébergent 150 bryophytes et 152 lichens dont 29 nouveaux pour le Québec. Les sols, développés sur une roche-mère calcaire, se répartissent en quatre ordres : podzolique, organique, régosolique et gleysolique. L'horizon d'accumulation des sols podzolisés présente des particularités intéressantes : il est mince et noir, et sa teneur en matière organique est très élevée. L'analyse phytosociologique de la végétation, effectuée au moyen de la méthode de Braun-Blanquet (1932), nous a permis de définir 101 unités dont 28 associations, 8 sous-associations, 2 variantes et 63 groupements sans rang hiérarchique déterminé. Elles ont été regroupées en 7 unités physionomiques: la forêt (65,0% de la superficie), la tourbière (11,5%), le marais d'eau douce (0,0%), la lande (12,0%), la falaise (0,0%), le littoral sablo-graveleux (0,9%) et le littoral limoneux (1,4%). Le reste (9,2%) est occupé par le sol nu et l'eau douce. Compte tenu de la grande richesse floristique, phy- tosociologique et esthétique, nous croyons que les deux îles sont propices à l'établissement d'une réserve écologique.
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Étude phyto-écologique de la Petite île au Marteau, archipel de Mingan et propositions d'aménagement

Marcotte, Francine 23 February 2022 (has links)
Cette étude s'inscrit dans la lignée des études écologiques et floristiques de l'archipel de Mingan, débutées par Grondin et Melançon (1980 a) sur la Grosse île au Marteau et l'île â Samuel. Son but particulier est cependant de vérifier une hypothèse émise au départ â savoir si la Petite île au Marteau est propice à l'aménagement d'un sentier d'interprétation de 1 a nature. L'île, malgré sa superficie restreinte, apparaît très diversifiée en ce qui concerne sa flore et sa végétation. Chez les plantes vasculaires, 216 taxons différents ont été relevés, incluant une plante rare dans l'archipel, le Cypripedium passerinum. À cela, s'ajoutent 63 mousses dont 7 nouvelles pour la Minganie et une addition pour l'est du continent américain, Bryum warneum, 116 lichens dont 31 sont nouveaux pour l'archipel , 2 jamais rapportés au Québec, 2 nouveaux pour l'est de l'Amérique du Nord. Enfin, un lichen crustacé, Melanolecia jurana var. bicincta, n'a jamais été signalé auparavant en Amérique du Nord. L'archipel de Mingan fait partie du domaine climacique de la sapinière baumière à épinette blanche. Il possède une végétation nettement différente de celle de la Côte-Nord où prédominent les pessières noires. A l'intérieur de six habitats distincts ((forêt, tourbière, lande, littoral sablo-graveleux, falaise et littoral limoneux), 45 unités phytosociologiques différentes ont été reconnues. Elles se divisent en 24 associations, 3 sous associations et 21 groupements sans rang phytosociologique déterminé. Parmi les associations, la pessière blanche rabougrie et la festuçaie rouge â cladonies n'ont pas été décrites auparavant et parmi les groupements, 18 s'avèrent nouveaux pour la Minganie. Les sols sont représentés par les quatre ordres connus dans l'archipel: podzolique, régosolique, organique et gleysolique, ainsi que les non sols au sens de la nouvelle version de la classification canadienne (Commission canadienne de pédologie, 1978). Une carte de la végétation actuelle de l'île a été élaborée et a servi de document de base à partir duquel d'autres cartes thématiques ont été produites. Elles ont été utilisées pour évaluer et synthétiser les différentes possibilités d'aménagement de l'île. D'après les résultats obtenus, la Petite île au Marteau possède des qualités nécessaires à l'établissement d'un sentier écologique d'interprétation de la nature.
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Le paysage comme espace conceptuel et fonctionnel en écologie : analyse des composantes végétales de paysages agroforestiers

Blois, Sylvie de January 2000 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Étude phyto-écologique de la Petite île au Marteau, archipel de Mingan et propositions d'aménagement

Marcotte, Francine 23 February 2022 (has links)
Cette étude s'inscrit dans la lignée des études écologiques et floristiques de l'archipel de Mingan, débutées par Grondin et Melançon (1980 a) sur la Grosse île au Marteau et l'île â Samuel. Son but particulier est cependant de vérifier une hypothèse émise au départ â savoir si la Petite île au Marteau est propice à l'aménagement d'un sentier d'interprétation de 1 a nature. L'île, malgré sa superficie restreinte, apparaît très diversifiée en ce qui concerne sa flore et sa végétation. Chez les plantes vasculaires, 216 taxons différents ont été relevés, incluant une plante rare dans l'archipel, le Cypripedium passerinum. À cela, s'ajoutent 63 mousses dont 7 nouvelles pour la Minganie et une addition pour l'est du continent américain, Bryum warneum, 116 lichens dont 31 sont nouveaux pour l'archipel , 2 jamais rapportés au Québec, 2 nouveaux pour l'est de l'Amérique du Nord. Enfin, un lichen crustacé, Melanolecia jurana var. bicincta, n'a jamais été signalé auparavant en Amérique du Nord. L'archipel de Mingan fait partie du domaine climacique de la sapinière baumière à épinette blanche. Il possède une végétation nettement différente de celle de la Côte-Nord où prédominent les pessières noires. A l'intérieur de six habitats distincts ((forêt, tourbière, lande, littoral sablo-graveleux, falaise et littoral limoneux), 45 unités phytosociologiques différentes ont été reconnues. Elles se divisent en 24 associations, 3 sous associations et 21 groupements sans rang phytosociologique déterminé. Parmi les associations, la pessière blanche rabougrie et la festuçaie rouge â cladonies n'ont pas été décrites auparavant et parmi les groupements, 18 s'avèrent nouveaux pour la Minganie. Les sols sont représentés par les quatre ordres connus dans l'archipel: podzolique, régosolique, organique et gleysolique, ainsi que les non sols au sens de la nouvelle version de la classification canadienne (Commission canadienne de pédologie, 1978). Une carte de la végétation actuelle de l'île a été élaborée et a servi de document de base à partir duquel d'autres cartes thématiques ont été produites. Elles ont été utilisées pour évaluer et synthétiser les différentes possibilités d'aménagement de l'île. D'après les résultats obtenus, la Petite île au Marteau possède des qualités nécessaires à l'établissement d'un sentier écologique d'interprétation de la nature.
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Étude éco-dynamique de la végétation du comté de Lévis

Doyon, Dominique 23 February 2022 (has links)
No description available.
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Étude écologique et cartographique de la végétation du comté de Rivière du Loup

Blouin, Jean-Louis 23 February 2022 (has links)
Québec : L'Unité de microscopie, Le Service de l'audiovisuel, Section photographie, Université Laval, 1978. 1 bobine; 16 mm.
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Étude éco-dynamique de la végétation du comté de Lévis

Doyon, Dominique 23 February 2022 (has links)
No description available.
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Étude écologique et cartographique de la végétation du comté de Rivière du Loup

Blouin, Jean-Louis 23 February 2022 (has links)
Québec : L'Unité de microscopie, Le Service de l'audiovisuel, Section photographie, Université Laval, 1978. 1 bobine; 16 mm.
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Les plantes indicatrices du climat en France et leur télédétection

Garbolino, Emmanuel 12 December 2001 (has links) (PDF)
Dès ses débuts, la géographie botanique a reconnu l'influence du climat sur la répartition des plantes grâce à la comparaison de territoires et à l'examen de limites climatiques et floristiques. Elle a exprimé cette influence par des cartes plus que par des mesures. Elle a progressivement donné naissance à une discipline biologique, l'écologie végétale, qui se fonde, en milieu naturel, sur des observations stationnelles et sur des traitements numériques. Mais cette discipline a surtout mesuré les variables stationnelles les plus accessibles, celles qui concernent le substrat de la végétation plutôt que son climat, tout au moins à grande échelle. Aujourd'hui, cette discipline dispose d'une<br />banque de données climatiques, celle de Météo-France, et d'une banque de données floristiques « Sophy ». Elle peut établir les relations entre plantes et climats sur une base stationnelle et<br />numérique, donc plus objective, plus précise et plus complète que la géographie botanique.<br />Le réseau météorologique national fournit des données standardisées dans 828 postes en France. Parmi les facteurs les plus actifs sur les plantes, il y a la température du jour et de la nuit, mois par mois, reflétées respectivement par la température mensuelle maximale et minimale ; il y a également les hauteurs et les fréquences mensuelles des précipitations. Ces facteurs sont ramenés à une même période de référence après estimation des données manquantes. De son côté, la banque « Sophy » fournit les présences et les abondances de 4.500 taxons botaniques dans 140.000 stations<br />en France. Elle permet de distinguer le comportement d'une plante soit par sa présence, soit par un seuil d'abondance. La conjonction de ces deux banques fournit un échantillonnage d'environ 12.000<br />stations floristiques réparties entre les climats de 574 postes.<br />La dépendance apparente d'une plante envers un facteur se manifeste par la concentration de ses présences dans la gamme du facteur. Cette concentration se calcule comme une probabilité et elle suit un gradient rigoureusement unimodal dans la gamme du facteur. La concentration maximale exprime le pouvoir indicateur de la plante, de telle façon que ce paramètre ne soit nul que pour une plante ubiquiste. Ce pouvoir indicateur est d'autant plus élevé que la plante est meilleure indicatrice. Le rang de la concentration maximale indique la position optimale de la plante. Les douze pouvoirs indicateurs et les douze positions optimales résument le comportement d'une plante dans la gamme d'un facteur. Ce travail présente le catalogue des comportements pour 2.800 plantes<br />indicatrices du climat et pour six grandeurs climatiques sous la forme de graphiques. Le catalogue présente aussi la répartition géographique de chaque plante entre les 140.000 stations de la banque « Sophy ». Ce catalogue n'est pas seulement un dictionnaire écologique des plantes indicatrices du climat. Il est aussi un outil informatique qui permet d'estimer avec précision le climat dans une communauté dépourvue de poste météorologique et d'introduire ainsi le climat de façon numérique dans toute étude phyto-écologique en France.<br />Mis à part l'application précédente, le catalogue ne montre pas de synthèse. Il est complété par une classification climatique des plantes qui montre la hiérarchie des phénomènes et leur importance statistique. Cette classification détermine des groupes de plantes ayant des comportements similaires d'après leurs fidélités cumulées aux rangs des variables climatiques. Elle caractérise un groupe par ses pouvoirs indicateurs et ses positions optimales. Elle aboutit à un catalogue des principaux groupes, depuis les plus nombreux et les plus différents, constituant les premiers niveaux de synthèse, jusqu'aux plus détaillés. Elle montre que le gradient phytoclimatique majeur sépare le littoral, la région méditerranéenne et les montagnes des plaines continentales. Le<br />groupe littoral, par exemple, se subdivise en groupes atlantiques et méditerranéens, puis en sousgroupes cantonnés dans une partie seulement de chaque climat.<br />Un travail analogue est entrepris sur les relations entre les plantes et les variables du satellite NOAA. Comme en géographie botanique, les relations entre plantes et mesures satellitaires se<br />fondent souvent sur la superposition de ces images, basées sur un indice de végétation (NDVI), avec des cartes de végétation. Ces images et leur interprétation montrent de grandes catégories de<br />végétation, telles que formations forestières et cultures. La banque « Sophy » permet une étude stationnelle et non plus cartographique du phénomène. Cette banque associe des données<br />floristiques à des données satellitaires issues du même emplacement, dans 11.000 pixels de 5,5 km de côté. Les synthèses mensuelles du NDVI montrent des différences de comportement entre les plantes de formations différentes, telles que prairies, forêts, ripisylves, formations méditerranéennes et les landes atlantiques, littorales et montagnardes. Les pouvoirs indicateurs sont parfois élevés et similaires pour les plantes de la même formation. Mais ils montrent encore quelques incohérences, soit d'un mois sur l'autre, soit d'une variable satellitaire à une autre, faute d'une standardisation insuffisante dans la caractérisation des pixels. Des variables satellitaires standardisées portant sur une plus longue période, dont les données manquantes seraient calculées, devraient être susceptibles de localiser des phytoclimats, grâce aux groupes de plantes qui les représentent, et de généraliser<br />sur le terrain les connaissances stationnelles de la phytoclimatologie.

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