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Les cycles électoraux au Canada : une question d'ordre?

Boucher-Lafleur, Véronique January 2021 (has links)
Ce mémoire a pour objectif d'étudier les cycles électoraux au Canada. Le cadre théorique mobilisé pour cette recherche s'appuie sur deux théories de ce champ d'étude soit la théorie des élections de premier et de deuxième ordre ainsi que la théorie du contrepoids électoral (« electoral balancing »). Dans un système politique à multi-niveaux, ces deux théories postulent que les résultats électoraux des différents paliers électoraux sont en fait reliés entre eux. D'après ces théories, les élections nationales auraient plus d'importance pour les électeurs, ce pourquoi les résultats d'une élection régionale seraient en fait déterminés par des facteurs provenant à l'arène politique nationale. Au Canada, cela implique que les résultats d'une élection provinciale seraient alors influencés par l'élection fédérale précédente. Pour étudier ce phénomène, l'ensemble des résultats électoraux des élections générales fédérales et provinciales de 1988 jusqu'à aujourd'hui ont été compilé dans une base de données. Des régressions linéaires et polynomiales ont ensuite été réalisées en prenant les résultats fédéraux comme variable explicative et les résultats provinciaux comme variable expliquée dans un premier temps, puis en étudiant la relation inverse. Les résultats électoraux ont été divisés par province puis en cinq familles de partis politiques : libérale, conservatrice, travailliste, écologiste et régionaliste. Les résultats de cette recherche varient selon la province considérée : les élections fédérales ont parfois plus d'influence sur l'élection provinciale suivante dans certains cas alors que dans d'autres il s'agit de la relation inverse qui prévaut. Ce mémoire conclut également qu'il y a une dynamique de balancement entre le vote fédéral et provincial dans certaines provinces, mais il n'y a aucune tendance générale qui se dégage à l'échelle du Canada. Cette recherche apporte une contribution significative à la littérature sur les cycles électoraux au Canada. / This research project is studying electoral cycles in Canada. Two main theories from this field of research are mobilized in this paper. The first one is the theory of first and second order election and the second is the theory of electoral balancing. In a multi-level electoral system, these two theories suggest that electoral results from different electoral levels are related to each other. These theories assumed that national elections are more important to voters. Therefore, regional electoral results are explained by factors coming from the national electoral level. In Canada, this theory implies that provincial electoral results are influenced by the previous federal election. To study this phenomenon, all provincial and federal electoral results from 1988 until today were coded into a dataset. A first set of linear and polynomial regressions was performed using federal electoral results as the independent variable and provincial electoral results as the dependent variable. Then, another set of regressions was performed but to study the opposite relation. Electoral results were split by province and into five families of political parties: liberal, conservative, labor, ecologist, and regionalist. Results vary between provinces: federal elections have more influence on provincial results in some provinces while the opposite relation is more important in others. This paper also concludes that there is a dynamic of electoral balancing between federal and provincial results in certain provinces, but that no general tendency can be seen across Canada. This research project is a significant contribution to the literature on electoral cycles in Canada.
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Les cycles électoraux au Canada : une question d'ordre?

Boucher-Lafleur, Véronique 24 September 2021 (has links)
Ce mémoire a pour objectif d'étudier les cycles électoraux au Canada. Le cadre théorique mobilisé pour cette recherche s'appuie sur deux théories de ce champ d'étude soit la théorie des élections de premier et de deuxième ordre ainsi que la théorie du contrepoids électoral (« electoral balancing »). Dans un système politique à multi-niveaux, ces deux théories postulent que les résultats électoraux des différents paliers électoraux sont en fait reliés entre eux. D'après ces théories, les élections nationales auraient plus d'importance pour les électeurs, ce pourquoi les résultats d'une élection régionale seraient en fait déterminés par des facteurs provenant à l'arène politique nationale. Au Canada, cela implique que les résultats d'une élection provinciale seraient alors influencés par l'élection fédérale précédente. Pour étudier ce phénomène, l'ensemble des résultats électoraux des élections générales fédérales et provinciales de 1988 jusqu'à aujourd'hui ont été compilé dans une base de données. Des régressions linéaires et polynomiales ont ensuite été réalisées en prenant les résultats fédéraux comme variable explicative et les résultats provinciaux comme variable expliquée dans un premier temps, puis en étudiant la relation inverse. Les résultats électoraux ont été divisés par province puis en cinq familles de partis politiques : libérale, conservatrice, travailliste, écologiste et régionaliste. Les résultats de cette recherche varient selon la province considérée : les élections fédérales ont parfois plus d'influence sur l'élection provinciale suivante dans certains cas alors que dans d'autres il s'agit de la relation inverse qui prévaut. Ce mémoire conclut également qu'il y a une dynamique de balancement entre le vote fédéral et provincial dans certaines provinces, mais il n'y a aucune tendance générale qui se dégage à l'échelle du Canada. Cette recherche apporte une contribution significative à la littérature sur les cycles électoraux au Canada. / This research project is studying electoral cycles in Canada. Two main theories from this field of research are mobilized in this paper. The first one is the theory of first and second order election and the second is the theory of electoral balancing. In a multi-level electoral system, these two theories suggest that electoral results from different electoral levels are related to each other. These theories assumed that national elections are more important to voters. Therefore, regional electoral results are explained by factors coming from the national electoral level. In Canada, this theory implies that provincial electoral results are influenced by the previous federal election. To study this phenomenon, all provincial and federal electoral results from 1988 until today were coded into a dataset. A first set of linear and polynomial regressions was performed using federal electoral results as the independent variable and provincial electoral results as the dependent variable. Then, another set of regressions was performed but to study the opposite relation. Electoral results were split by province and into five families of political parties: liberal, conservative, labor, ecologist, and regionalist. Results vary between provinces: federal elections have more influence on provincial results in some provinces while the opposite relation is more important in others. This paper also concludes that there is a dynamic of electoral balancing between federal and provincial results in certain provinces, but that no general tendency can be seen across Canada. This research project is a significant contribution to the literature on electoral cycles in Canada.
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Réception des messages électoraux et identité ethnique : le cas de la communauté libanaise de Montréal

Sauvageau, Marie-Michèle 17 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2009-2010 / Selon les travaux sur l'heuristique, des indices périphériques à l'argumentaire d'un message peuvent avoir une influence déterminante sur les choix d'un électeur issu de l'immigration. Dans la lignée des travaux de Graves et Lee (2001), la présente étude vérifie d'abord si l'identification à un candidat partageant la même ethnicité que l'électeur peut avoir une influence sur le comportement électoral. Grâce à une méthodologie originale, combinant l'expérimentation et l'entretien, l'étude révèle que l'identité partisane est un meilleur indicateur des comportements de l'électeur. La stratégie consistant à présenter un candidat issu de l'immigration aurait donc peu d'influence sur le vote des électeurs d'origine immigrante. Enfin, l'analyse vérifie si l'identification ethnique, considérée comme un phénomène d'influence groupale lié au sentiment d'appartenance à un groupe culturel, peut expliquer les choix des participants de l'étude. Les résultats démontrent l'absence de liens directs et probants entre les facteurs ethniques et le comportement politique des répondants.
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Politique et préjugés : l'influence des stéréotypes liés à l'ethnicité, au genre et à l'âge sur le comportement politique = Politics and Prejudice : the influence of ethnicity-based, gender-based, and age-based stereotypes on political behaviour / Politics and Prejudice

Bouchard, Joanie 14 February 2020 (has links)
RésuméCette thèse s’intéresse à l’impact du genre, de l’âge et de l’ethnicité des chef·fes de partis au Canada sur la réception de leur candidature par les électeur·rices. La perception sociale est intrinsèquement relationnelle et met autant en scène l’identité du/de la candidat·e que de l’électeur·rice. Par conséquent, cette thèse s’attarde à la fois au profil sociodémographique des chef·fes de partis et des électeur·ices qui sont appelé·es à les évaluer. Ce faisant, elle contribue aux champs des études électorales et de la psychologie politique.Trois méthodes complémentaires sont employées. La première partie de la thèse s’appuie sur une analyse quantitative de données électorales fédérales (1988-2015) ainsi que dans trois provinces canadiennes (Québec (2012-2014), Alberta (2012) et Colombie Britannique (2013)). Elle s’intéresse à l’évaluation des chef·fes de partis ainsi qu’aux intentions de vote en fonction du profil sociodémographique des leaders politiques et des électeur·rices en ancrant fermement l’analyse dans le contexte social et politique canadien. Pour finir, un dernier chapitre présentant une analyse quantitative de démocraties occidentales (l’Allemagne (2017), la Nouvelle-Zélande (2017), la France (2017) et les États-Unis (2016)) permet de mettre les conclusionstirées au sujet du Canada en perspective. La seconde partie de cette thèse présente deux expériences, l’une réalisée en laboratoire à l’Université Laval et l’autre en ligne. Basées surdes élections fictives mettant en scène des candidat·es varié·es en termes de genre, d’âge etd’ethnicité, ces expériences s’attardent à la teneur de la relation causale entre l’apparencede candidats et le comportement politique des électeur·rices. La dernière partie de la thèse consiste, quant à elle, en l’analyse de données qualitatives recueillies lors de six groupes de discussion ayant eu lieu entre 2018 et 2019 à l’Université Laval. Trois d’entre eux ont été réalisés avec des personnes ayant participé à l’expérience en laboratoire, et trois autres suites à un appel de volontaires. L’étude de ces discussions met en lumière le mécanisme causal à l’étude en identifiant la teneur des stéréotypes politiques basés sur le genre, l’âge et l’ethnicité au Québec ainsi que la façon dont des stéréotypes sont employés, réprimés, pensés et remis en question par l’électorat. En particulier, cette section de la thèse s’attarde à la possibilité d’inférence de valeurs et d’idées politiques en fonction du profil et de l’apparence d’un·e candidat·e. La principale conclusion de cet ouvrage est le caractère conditionnel, mais bien réel, des comportements politiques pouvant être qualifiés d’affinitaires (liés a l’appui politique de candidat·es partageant des caractéristiques sociodémographiques avec des électeur·ices) au Canada et basés sur l’apparence des candidat·es politique. En d’autres mots, les électeurs sont bel et bien au courant des narratifs sociaux entourant la présence de personnes issues de groupes historiquement marginalisés dans l’arène politique, et ils emploient et questionnent les notions préconçues liées à certains groupes sociaux à différents degrés. Bien que les stéréotypes associés à l’"outsider" politique s’avère parfois nettement divergents du profil du politicien dittypique, cette déviation face à la norme politique n’est pas systématiquement sanctionnée.Dépendant du profil de l’électeur, des idéologies qu’il porte et de l’offre politique en place àun moment donné, cette marginalité peut être activement recherchée, car associée à la per-formance de "la politique autrement" ou encore à une meilleure représentation politique d’ungroupe social auquel l’électeur peut s’identifier. Un survol de l’état de la question dans d’autresdémocraties occidentales soulève cependant la question des règles du jeu politique. Il révèleque ces comportements politiques au Canada en contexte électoral ressemblent davantage auxphénomènes observés lors d’élections présidentielles que lorsqu’il est question d’autres régimesparlementaires s’appuyant quant à eu sur un mode de scrutin proportionnel mixte. / This thesis examines the impact of the gender, age, and ethnicity of party leaders in Canada on the way these candidates are received by electors. Social perception is intrinsically relational and puts as much emphasis on the identity of the candidate as the voter. Consequently, this thesis focuses on both the socio-demographic profile of party leaders and the electors who are called upon to evaluate them. In doing so, she contributes to the fields of electoral studies and political psychology. To do this, three complementary research methods are employed. The first part of the thesis is based on a quantitative analysis of federal electoral data (1988-2015) as well as three Canadian provinces (Quebec (2012-2014), Alberta (2012) and British Columbia (2013)). It looks at the evaluation of party leaders and votes intentions according to the socio-demographic profile of political leaders and voters. The analysis is firmly anchored in the Canadian social and political context. However, a last chapter presenting a quantitative analysis of Western democracies (Germany (2017), New Zealand (2017), France (2017) and the United States (2016)) provides a different perspective on the conclusions drawn in about Canada. The second part of thist hesis presents two experiments, one done in a laboratory at Université Laval and the other online. Based on fictitious elections featuring diverse candidates in terms of gender, age and ethnicity, these experiments focus on the content of the causal relationship between the appearance of candidates and voters’ political behaviour. The last part of the thesis consists in the analysis of qualitative data collected during six discussion groups held between 2018 and 2019 at Université Laval. Three of them were done with people who had participated in the lab experiment, and three others after a call for volunteers. The analysis of these discussions highlights the causal mechanism under study by identifying the content of political stereotypes based on gender, age, and ethnicity in Quebec as well as the way stereotypes are used, repressed, thought out, and questioned by the electorate. In particular, this section of the thesis focuses on the possibility of inferring values and political ideas based on the appearance of a candidate. The main conclusion of this work is the conditional, but very real, occurrence of political be-haviours that can be described as affinity-based (linked to the political support of candidates sharing socio-demographic characteristics with electors) in Canada. In other words, voters are well aware of the social narratives surrounding the presence of people from historically marginalized groups in the political arena, and they use and question preconceived notions related to these groups to different degrees. Although a particular set of characteristics maybe associated with the political "outsider", this deviation from the political norm is not systematically sanctioned. Depending on the profile of voters, the ideologies they carry and the political offer in place at a given moment, this marginality can be actively sought, because associated with the performance of "politics differently" or the better political representation of a social group to which the elector can identify. An overview of the state of affairs in other Western democracies, however, raises the question of the rules of the political game. It reveals that these political behaviours in Canada are more similar to the phenomena observed in pres-idential elections than when we look at other parliamentary systems using mixed proportional voting.

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