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A run time component model for building system softwareUeyama, JoÌ January 2005 (has links)
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A formal approach to analysis and refinement of policiesBandara, Arosha Karunadheera January 2005 (has links)
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Protection des systèmes informatiques vis-à-vis des malveillances : un hyperviseur de sécurité assisté par le matériel / Protection of the computer systems face to face hostilities : a hypersight of sight (security) assisted by the material ( equipment)Morgan, Benoît 06 December 2016 (has links)
L'utilisation des systèmes informatiques est aujourd'hui en pleine évolution. Le modèle classique qui consiste à associer à chaque utilisateur une machine physique qu'il possède et dont il va exploiter les ressources devient de plus en plus obsolète. Aujourd'hui, les ressources informatiques que l'on utilise peuvent être distribuées n'importe où dans l'Internet et les postes de travail du quotidien ne sont plus systématiquement des machines réelles. Cette constatation met en avant deux phénomènes importants qui sont à l'origine de l'évolution de notre utilisation de l'informatique : le Cloud computing et la virtualisation. Le Cloud computing (ou informatique en nuage en français) permet à un utilisateur d'exploiter des ressources informatiques, de granularités potentiellement très différentes, pendant une durée variable, qui sont à disposition dans un nuage de ressources. L'utilisation de ces ressources est ensuite facturée à l'utilisateur. Ce modèle peut être bien sûr avantageux pour une entreprise qui peut s'appuyer sur des ressources informatiques potentiellement illimitées, qu'elle n'a pas nécessairement à administrer et gérer elle-même. Elle peut ainsi en tirer un gain de productivité et un gain financier. Du point de vue du propriétaire des machines physiques, le gain financier lié à la location des puissances de calcul est accentué par une maximisation de l'exploitation de ces machines par différents clients.L'informatique en nuage doit donc pouvoir s'adapter à la demande et facilement se reconfigurer. Une manière d'atteindre ces objectifs nécessite notamment l'utilisation de machines virtuelles et des techniques de virtualisation associées. Même si la virtualisation de ressources informatiques n'est pas née avec le Cloud, l'avènement du Cloud a considérablement augmenté son utilisation. L'ensemble des fournisseurs d'informatique en nuage s'appuient aujourd'hui sur des machines virtuelles, qui sont beaucoup plus facilement déployables et migrables que des machines réelles.Ainsi, s'il est indéniable que l'utilisation de la virtualisation apporte un véritable intérêt pour l'informatique d'aujourd'hui, il est par ailleurs évident que sa mise en œuvre ajoute une complexité aux systèmes informatiques, complexité à la fois logicielle (gestionnaire de machines virtuelles) et matérielle (nouveaux mécanismes d'assistance à la virtualisation intégrés dans les processeurs). A partir de ce constat, il est légitime de se poser la question de la sécurité informatique dans ce contexte où l'architecture des processeurs devient de plus en plus complexe, avec des modes de plus en plus privilégiés. Etant donné la complexité des systèmes informatiques, l'exploitation de vulnérabilités présentes dans les couches privilégiées ne risque-t-elle pas d'être très sérieuse pour le système global ? Étant donné la présence de plusieurs machines virtuelles, qui ne se font pas mutuellement confiance, au sein d'une même machine physique, est-il possible que l'exploitation d'une vulnérabilité soit réalisée par une machine virtuelle compromise ? N'est-il pas nécessaire d'envisager de nouvelles architectures de sécurité prenant en compte ces risques ?C'est à ces questions que cette thèse propose de répondre. En particulier, nous présentons un panorama des différents problèmes de sécurité dans des environnements virtualisés et des architectures matérielles actuelles. A partir de ce panorama, nous proposons dans nos travaux une architecture originale permettant de s'assurer de l'intégrité d'un logiciel s'exécutant sur un système informatique, quel que soit son niveau de privilège. Cette architecture est basée sur une utilisation mixte de logiciel (un hyperviseur de sécurité développé par nos soins, s'exécutant sur le processeur) et de matériel (un périphérique de confiance, autonome, que nous avons également développé). / Computer system are nowadays evolving quickly. The classical model which consists in associating a physical machine to every users is becoming obsolete. Today, computer resources we are using can be distributed any place on the Internet and usual workstations are not systematically a physical machine anymore. This fact is enlightening two important phenomenons which are leading the evolution of the usage we make of computers: the Cloud computing and hardware virtualization. The cloud computing enable users to exploit computers resources, with a fine grained granularity, with a non-predefined amount of time, which are available into a cloud of resources. The resource usage is then financially charged to the user. This model can be obviously profitable for a company which wants to lean on a potentially unlimited amount of resources, without administrating and managing it. A company can thereby increase its productivity and furthermore save money. From the physical machine owner point of view, the financial gain related to the leasing of computing power is multiplied by the optimization of machine usage by different clients. The cloud computing must be able to adapt quickly to a fluctuating demand a being able to reconfigure itself quickly. One way to reach these goals is dependant of the usage of virtual machines and the associated virtualization techniques. Even if computer resource virtualization has not been introduced by the cloud, the arrival of the cloud it substantially increased its usage. Nowadays, each cloud provider is using virtual machines, which are much more deployable and movable than physical machines. Virtualization of computer resources was before essentially based on software techniques. But the increasing usage of virtual machines, in particular in the cloud computing, leads the microprocessor manufacturers to include virtualization hardware assistance mechanisms. Theses hardware extensions enable on the one hand to make virtualization process easier et on the other hand earn performances. Thus, some technologies have been created, such as Intel VT-x and VT-d or AMD-V by AMD and virtualization extensions by ARM. Besides, virtualization process needs the implementation of extra functionalities, to be able to manage the different virtual machine, schedule them, isolate and share hardware resources like memory and peripherals. These different functionalities are in general handled by a virtual machine manager, whose work can be more or less eased by the characteristics of the processor on which it is executing.In general, these technologies are introducing new execution modes on the processors, more and more privileged and complex.Thus, even if we can see that virtualization is a real interest for modern computer science, it is either clear that its implementation is adding complexity to computer systems, at the same time software and hardwarecomplexity. From this observation, it is legitimate do ask the question about computer security in this context where the architecture of processors is becoming more and more complex, with more and more privileged execution modes. Given the presence of multiple virtual machine, which do not trust each other, in the same physical machine, is it possible that the exploitation of one vulnerability be carried out by a compromised virtual machine ? Isn't it necessary to consider new security architectures taking these risks into account?This thesis is trying to answer to these questions. In particular, we are introducing state of the art security issues in virtualized environment of modern architectures. Starting from this work, we are proposing an originalarchitecture ensuring the integrity of a software being executed on a computer system, regardless its privilege level. This architecture is both using software, a security hypervisor, and hardware, a trusted peripheral, we have both designed and implemented.
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