Thèse d'Etat : Sciences naturelles : Paris, Faculté des sciences : 1846. Thèse d'Etat : Géologie : Paris, Faculté des sciences : 1846. / Titre provenant de l'écran-titre.

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Thesis (Ph. D.)--University of Chicago, Department of Geophysical Sciences, August 2003. / Includes bibliographical references. Also available on the Internet.

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Thirty three species of ammonites are recorded from the composite type section of the Weberg Member of the Snowshoe Formation in the Suplee area, Grant County, Oregon. Holcophylloceras burkei, Euhoploceras westi, E. tubereulosum and Strigoceras taylori are described as new, while four new species belonging to the genera Sonninia [?], Bradfordia, Pseudotoites and Witchellia are not formally named. Three ammonite zonules characterize the ammonite sequence of the type Weberg composite section. The sequence correlates with parts of the standard lower and middle Bajocian (Jurassic) of northwestern Europe. In addition, four associations (paleo-communities) of benthic mega invertebrates, the Gervillia, Protocardia, Isocyprina and Bositra buahii associations are delineated. The type Weberg composite section is a record of a local marine transgression westward onto an island system. The section also represents sedimentation over an irregular pre-Snowshoe topographic high, and indicates a progressive change from proximal to distal source of pre-Snowshoe sediments, from high to low energy conditions, and perhaps a slight deepening of the ocean bottom. Ammonites are rare in the lower division of the Weberg Member, locally present in fine sandy limestones of the lower part of the upper division, abundant and most diverse in silt-rich, clay-poor limestones of the upper part of the upper division, and locally abundant in mudstones of the Warm Springs Member. Recurrent associations of certain ammonite species, strong correlation of the associations with lithofacies and biofacies, and pervasive faunal differences of ammonites between facies indicate in general that the distributional patterns of the ammonites reflect spatial life-habitats. The spotty yet widespread geographic occurrence of several ammonite species suggest they had undergone extensive planktic dispersal, thus ocean currents probably played an important role in their distributional patterns.

L'étude de la famille des PULCHELLIIDAE DOUVILLÉ, 1890 emend. est basée sur la récolte de plus de 1500 spécimens dont près d'un millier ont été récoltés banc par banc et sont répertoriés dans notre collection. Après avoir indiqué sommairement les caractéristiques paléogéographiques et les localisations des sites étudiés, sur le terrain ou par des collections anciennes, nous établissons le cadre biostratigraphique au sein duquel se situe notre étude. L'étude biostratigraphique est abordée par la discussion des critères fondamentaux qui permettent de sélectionner les espècesindex. La quasi-totalité des espèces-index choisies ont été révisées et elles sont donc facilement identifiables. Nous discutons de deux critères peu considérés jusqu'à présent par les auteurs: la variation de fréquence des espèces-index entre le bassin et la plateforme, et l'écart stratigraphique potentiel ou réel existant entre l'apparition épibolienne et l'apparition réelle d'une espèce-index. Nous justifions largement nos choix des espèces-index, ainsi que les rejets de certaines espèces choisies comme index zonales par d'autres auteurs ou par le Lower Cretaceous Ammonite Working Group (L.C.A.W.G.) ; cette partie justificative n'existe pas ou tient très peu de place dans tous les travaux antérieurs.