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Das Absurde : Studien zu einem Grenzbegriff menschlichen Handelns /

Hober, Christine, January 2001 (has links)
Diss.--Katholisch-theologische Fakultät--Bonn--Rheinische Friedrich-Wilhelms-Universität, 2000. / Bibliogr. p. 148-158.
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L'Homme en quête du sens de sa vie aujourd'hui

Ouellet, Réal, Ouellet, Réal 05 December 2024 (has links)
No description available.
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Dimension de l'absurde dans les musiques de György Ligeti et de György Kurtág /

Polloli, François, January 2004 (has links)
Th. Etat--Esthétique--Paris 8--Vincennes Saint-Denis, 2004. / Bibliogr. p. 488-495.
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La machine dodue, création littéraire suivie d'une analyse portant sur la littérature absurde /

Tremblay, Frédéric, January 2002 (has links)
Mémoire (M.E.L.)-- Université du Québec à Chicoutimi, 2002. / Document électronique également accessible en format PDF. CaQCU
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A l'aube de l'absurde

Knysz-Rudzka, Danuta. January 1978 (has links)
Thesis--Lund. / "Traduit par Richard Korn et J.C. Birau." Includes bibliographical references (p. 185-193) and index.
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La notion de l'absurde et le passage à la révolte chez Albert Camus

Erkoreka, Yon 08 January 2025 (has links)
Dans ce travail de recherche, je me suis proposé d'étudier la notion de l'absurde dans l'œuvre d'Albert Camus et d'analyser le passage qu'il effectue de l'absurde solitaire à la révolte solidaire. J'ai d'abord souligné l'importance du milieu concret et historique qu'il a connu et de ses lectures envisagés tous deux dans leur rapport à la notion de l'absurde. Dans la première partie, après avoir expliqué la dualité contradictoire, l'envers et l'endroit de l'existence et le sentiment d'absurdité, j'ai voulu démontrer que la notion de l'absurde est avant tout un problème d'ordre épistémologique: une incapacité fondamentale de déchiffrer l'univers qui dépend justement du problème de la capacité de connaître de l'être humain et du décalage "entre ce que nous imaginons savoir et ce que nous savons réellement" dans un monde irréductible. J'ai insisté sur cet aspect épistémologique, peu traité par les commentateurs de Camus. Par ailleurs, Albert Camus exprime avec éloquence la tragédie de l'intelligence qui veut une explication totale et globale. J'ai procédé ensuite à une analyse plus directe de la notion de l'absurde. Camus nous dit que toutes les philosophies existentielles ont commis le péché d'évasion, accomplissant un "saut" de consentement vers la transcendance. Pour Camus la rationnalité n'est valable que dans le domaine de l'expérience humaine et il nie par conséquent la possibilité d'un monde de la transcendance; j'ai insisté sur ce point dans ma recherche. Pour lui "il n'est point de vérité, mais seulement des vérités". L'absurde exige qu'on y reste de façon obstinée, irréconciliée, sans faire le "saut". Au seuil de la deuxième partie de ma thèse, j'ai tenté de clarifier les intentions ultimes de Camus. Il n'étudie pas l'absurde pour y rester, mais sa préoccupation fondamentale est d'ordre moral ou éthique. Jean-Paul Sartre affirme que Camus est un "moraliste". Il était certainement pourvu d'un sens moral aigu. Comment doit agir l'homme absurde ? Voilà pour lui une question essentielle. La réponse à cette question a plusieurs aspects ou facettes. Doit-il se suicider? Non car, il faut garder l'absurde devant soi. Puisque l'absurde doit survivre, l'homme absurde doit se révolter dans un effort continuel pour en arriver à une impossible lumière. Voilà "un destin écrasant". Albert Camus a toujours été respectueux de l'homme et sa dévotion envers les égaux de sa race ne s'est jamais démentie, même à l'époque où des pensées sinistres le hantaient. L'acceptation de cette valeur lui a permis de bâtir une éthique généreuse, bien que difficile à justifier par moments. Sa morale de la quantité à des côtés intéressants: le nombre d'événements et de situations vécues, l'expérience humaine quantitative, alliée au détachement, permet d'aboutir à un certain équilibre teinté de sagesse. Là où le problème se complique, c'est quand il nous incite à "battre des records quantitatifs" A quoi bon, si tout est indifférent ? Les illustrations de la morale de la quantité que Camus nous présentent ont pour but de restituer à l'absurde "des visages plus chaleureux". Il y a un aspect esthétique et ludique dans sa manière d'expliquer l'absurde. Sisyphe est l'exemple le plus parfait de l'absurde vécu en toute lucidité consciente et absence d'espoir. Jusqu'à quand ? Dans le cas de l'homme absurde, c'est évident, jusqu'à la mort. Par contre, Sisyphe a dépassé la mort, semble-t-il. L'emploi de la notion de mythe dans son œuvre et l'importance des mythes comme moyen privilégié d'expression de l'absurde ont été signalés. Ne pouvant s'en tenir à la notion d'absurde solitaire, Camus nous a amenés vers la solidarité, poussé à cela par la grande école de la souffrance qu'il a vue autour de lui et en lui-même. Celui qui n'a jamais connu la douleur ne peut arriver à comprendre l'humain. Dans l'avant-propos rédigé par Camus pour le livre de son ami Louis Guilloux, La Maison du peuple, on peut apprécier l'importance pour lui de la douleur: "Un jour où nous parlions de la justice et de la condamnation: "la seule clé, me disait-il, c'est la douleur. C'est par elle que le plus affreux des criminels garde un rapport avec l'humain."". On ne songe jamais à la douleur chez les autres. Le regard exagéré vers soi et ses déboires est très répandu, pourrait-on dire. Je me suis intéressé, donc, au passage de Camus solitaire vers le Camus solidaire dans la troisième partie. Dans un premier temps, de façon non systématisée dans La Peste et par la suite au début de L'Homme révolté, autre livre à idées, essai philosophique, qui jette un pont avec Le Mythe de Sisyphe. Ce qu'ont en commun les êtres humains, la nature humaine, la vie, doit être préservé, même si cela suppose un équilibre difficile et une honnêteté à toute épreuve. Cette solidarité est soulignée davantage dans La Chute et elle sera la seule valeur sûre pour Albert Camus jusqu'à sa malheureuse et imprévisible disparition en 1960. Ici repose celui qui a accordé a tout être humain "le droit d'aimer sans mesure" aurait pu être l'épitaphe gravée sur sa pierre tombale.
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Le paradoxe "vitalogique" comme source et horizon de la pensée philosophique en rapport à l'homme chez Albert Camus

Kasongo Mbuyu, Joseph 12 May 2004 (has links)
En commençant son étude critique sur Camus, Pierre de Boisdeffre,dans (Métamorphose de la littérature, Proust, Valéry, Cocteau, Anouilh, Camus, Sartre, Verviers, Marabout Université, 1974, p.309), fait le constat suivant:"l'Europe depuis Nietzsche, est à la recherche d'un cinquième Evangile. Qu'elle exalte les nourritures terrestres ou qu'elle communie à sa propre nausée, la littérature contemporaine n'a plus qu'une seule certitude: elle sait que Dieu est mort et s'efforce de le remplacer par l'Homme." En méditant la pensée de Camus à travers ses essais philosophiques, il semble que, même si dans un entretien sur la révolte, ce dernier déclare qu'"il n'est pas humaniste", la question du comment l'homme doit vivre avec ses semblables dans le monde et en société, est au centre de la réflexion philosophique camusienne. Car, l'époque de Camus fut celle où la vie humaine comme valeur et la dignité de l'être humain, furent soumises à une dure épreuve d'être respectées par chaque homme et en tout homme. D'où l'intérêt que l'oeuvre de Camus porte sur la question de la "vitalogie": L'homme peut-il vivre heureux sans le secours de Dieu? Oui ou non, l'homme, peut-il se tuer volontairement ou bien tuer les autres sans raison? L'homme peut-il détruire le monde qui le porte sans détruire sa propre vie? En effet, loin de voir dans la mort raisonnée et dans le suicide une valeur, Camus considère qu'ils sont plutôt un mal que les hommes doivent éviter et faire éviter les autres dans le "vivre-ensemble." C'est pour cette raison que la pensée philosophique chez Camus présente comme l'une des caractéristiques majeures, la "passion de vivre" de l'homme et pour l'homme, car la vie est, selon lui, une valeur cardinale qui doit être respectée en tout être humain dans la communauté qui voudrait être juste, paisible, libre, solidaire et unie. A cet effet, nous soutenons la thèse suivante: La pensée camusienne est une "vitalogie" paradoxale, c'est-à-dire qu'elle est debat philosophique sur la vie de l'être humain, en tant que valeur fondamentale, dans ses rapports avec Dieu, le monde et les autres. Par conséquent, une société dans laquelle les hommes sont habités par la passion de bien vivre et mieux vivre ensemble, il y a une exigence impérieuse pour eux de promouvoir et de crer les valeurs qui favorisent le respect de l'être humain et de sa vie. La vitaogie camuusienne est indissociable de la vision qu'on se fait sur l'homme ici et maintenant, en tenant compte des contradictions ou des antinomies du "oui" et du "non" de l'existence. Selon Camus, en effet, la mission principale de l'homme dans le monde est de vivre: "Oui, mais je n'aurai rien manqué de ce qui fait toute ma mission et c'est de vivre." (Carnets I.p.92). La pensée camusienne est donc une vitalogie. Mais comment l'homme doit-il vivre? Celui-ci, pense Camus, doit devenir "créateur" des valeurs de la justice, de la liberté, de la solidarité, de la paix, de l'amitié et de la fraternité entre les hommes et être courageux, pour assumer la responsabilité de sa vie et de son destin dans le monde, en évitant d'aliéner son esprit dans les illusions, dans quelque absolutisme qu'il soit ou dans un pessimisme tétanisant. Au total, l'homme doit prendre en main sa destinée, en vue de la "joie vivre", sans pour autant perdre de vue que celle-ci ne se sépare pas non plus du "désespoir de vivre." <p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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