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Apprentissage phonétique des voyelles du français langue étrangère chez les apprenants japonophones

Kamiyama, Takeki 28 November 2009 (has links) (PDF)
Ce travail s'intéresse à l'application de la phonétique expérimentale [acoustique et perceptive] à la didactique de la prononciation des langues étrangères. Le propos est illustré par les difficultés d'apprentissage par des japonophones des voyelles du français ; les expériences portent spécifiquement sur les voyelles -u y ø-. Le but est d'élucider les difficultés que présentent ces phones selon que leur statut phonémique et leur réalisation phonétique diffèrent ou non entre la langue maternelle et la langue apprise. Le -u- français diffère phonétiquement de son équivalent phonémique, le -u- japonais. L'étude confirme que le -u- français, phonémiquement " similaire " au -u- japonais, est plus difficile que la voyelle " nouvelle " -y-, qui n'a pas d'équivalent ni phonémique ni phonétique en japonais. La production du -ø-, qui est " nouveau " phonémiquement mais proche du -u- japonais au plan acoustique, semble présenter encore moins de difficulté. La thèse apporte également une réflexion sur la didactique de la prononciation. L'analyse de manuels généralistes de français publiés au Japon suggère que les apprenants et les enseignants sont rarement conscients de la différence de difficultés des -u y ø-. Quelques méthodes d'enseignement de la prononciation - certaines traditionnelles, d'autres innovantes - sont proposées, dans l'idée de favoriser la conscientisation de ces difficultés. Le but de cette thèse est une contribution à l'éclaircissement des processus d'apprentissage de la prononciation des langues étrangères, et à l'amélioration de son apprentissage et de son enseignement.
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Étude des voyelles antérieures non-arrondies en allemand, français et finnois, et applications en vue d'une didactique de la prononciation. / Study of the front non-rounded vowels in German, French and Finnish and applications in the perspective of pronunciation teaching

Ibarrondo, Ludovic 26 November 2013 (has links)
Cette thèse s’inscrit dans une réflexion sur les apports potentiels de la phonétique expérimentale à la didactique et à l’enseignement de la prononciation. Son objectif est d’examiner les préférences perceptives des locuteurs du finnois, de l’allemand et du français, pour les voyelles antérieures non-arrondies /i e ɛ/ ; et de prolonger cette démarche dans le cadre de l’enseignement de la prononciation du français, en s’interrogeant sur la nécessité de continuer à considérer le contraste existant entre les voyelles moyennes /e/ et /ɛ/. La première partie de ce travail dresse un portrait des trois langues concernées, et introduit les principales hypothèses de processus cognitifs impliqués dans la perception. La deuxième partie de ce travail aborde la perception des voyelles /i e ɛ/, à travers trois tests de perception permettant 1) de définir les prototypes privilégiés par chacune des populations, 2) de mesurer l’effet d’un aimant perceptif spécifique à la langue, et 3) d’évaluer l’importance accordée à l’abaissement de la mandibule pour le choix des exemplaires de chacune des catégories concernées. L’analyse d’un corpus de parole spontanée nous permet enfin d’examiner la robustesse du contraste /e/~/ɛ/, et de mesurer l’intérêt didactique d’enseigner la différenciation et l’acquisition du timbre ouvert et du timbre fermé de ces voyelles en français langue étrangère. La troisième partie de ce travail s’intéresse enfin à la place accordée à la phonétique dans l’enseignement des langues, et offre une revue des principales tendances méthodologiques qui ont contribué à sa diffusion. L’intérêt d’investir différents outils issus de la phonétique expérimentale, du support multimédia, ou de disciplines non-linguistiques, y est discuté. / This work has its place within the context of reflection on the potential input of experimental phonetics to pronunciation teaching. Its aim is to compare the perceptual preferences of native speakers of Finnish, German, and French, for the front non-rounded vowels /i e ɛ/ ; and to extend this approach to French pronunciation teaching, by analyzing the contrast between the middle vowels /e/ and /ɛ/. The first part of this dissertation presents a picture of the phonological systems and phonotactics of the three languages and recalls the main theories about the cognitive processes involved in the perception of phonetic categories. Based on this comparison, the second part examines the perception of the vowels /i e ɛ/. Three studies have been conducted, in order to 1) determine the category’s prototypes for the three populations studied, 2) measure the impact of a language-specific perceptual magnet [Kuhl, 1991], and 3) assess the involvement of mouth opening, to ensure the contrast between the categories in the three languages. The robustness of the contrast /e/~/ε/ through the acoustic analysis of 633 occurrences of /E/ in a spontaneous speech corpus by one French native speaker has been evaluated and the interest to systematically distinguish the sounds of these two vowels in French as a foreign language has been assessed. The diverse conditioning factors, as the trends highlighted in our corpus, are compared to a similar study carried out by Léon and Tennant [1990] on 100 occurrences of /E/ taken from television broadcasts of Bernard Pivot. The third part of this work finally deals with the place granted to phonetics in language teaching and provides a review of the main methodological tendencies which have contributed to its diffusion. The potential of applying different tools resulting from experimental phonetics research, multimedia or non-linguistic disciplines is also discussed.
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Apprentissage phonétique des voyelles du français langue étrangère chez les apprenants japonophones / Pronunciation of French vowels by Japanese speakers learning French as a foreign language

Kamiyama, Takeki 28 November 2009 (has links)
Ce travail s’intéresse à l’application de la phonétique expérimentale [acoustique et perceptive] à la didactique de la prononciation des langues étrangères. Le propos est illustré par les difficultés d’apprentissage par des japonophones des voyelles du français ; les expériences portent spécifiquement sur les voyelles -u y ø-. Le but est d’élucider les difficultés que présentent ces phones selon que leur statut phonémique et leur réalisation phonétique diffèrent ou non entre la langue maternelle et la langue apprise. Le -u- français diffère phonétiquement de son équivalent phonémique, le -u- japonais. L’étude confirme que le -u- français, phonémiquement « similaire » au -u- japonais, est plus difficile que la voyelle « nouvelle » -y-, qui n'a pas d'équivalent ni phonémique ni phonétique en japonais. La production du -ø-, qui est « nouveau » phonémiquement mais proche du -u- japonais au plan acoustique, semble présenter encore moins de difficulté. La thèse apporte également une réflexion sur la didactique de la prononciation. L’analyse de manuels généralistes de français publiés au Japon suggère que les apprenants et les enseignants sont rarement conscients de la différence de difficultés des -u y ø-. Quelques méthodes d’enseignement de la prononciation – certaines traditionnelles, d’autres innovantes – sont proposées, dans l’idée de favoriser la conscientisation de ces difficultés. Le but de cette thèse est une contribution à l’éclaircissement des processus d’apprentissage de la prononciation des langues étrangères, et à l’amélioration de son apprentissage et de son enseignement. / This dissertation deals with the application of experimental [acoustic and perceptual] phonetics to the teaching of pronunciation. The issue is illustrated by Japanese speakers’ difficulties in learning French vowels in general. Experiments were specifically conducted on the vowels -u y ø-. The objective is to elucidate the case of individual phones depending on whether or not their phonemic status and their phonetic realisation differ in the two languages under study. French -u- differs phonetically from its phonemic counterpart, Japanese -u-. The present study confirms that French -u-, which is phonemically “similar” [to Japanese -u-], turns out to be more difficult than the “new” vowel -y-, which has no phonemic or phonetic counterpart in Japanese. The production of -ø-, which is phonemically “new” but acoustically close to Japanese -u-, seems to present still less difficulty. The dissertation also brings a reflection on t! he teaching of pronunciation. The analysis of general French textbooks published in Japan suggests that learners and teachers are seldom aware of the difference in the difficulties caused by the three vowels -u y ø-. Also, some methods of pronunciation teaching [some traditional, others new] are presented in terms of how they foster learners’ awareness of these difficulties. The goal of this dissertation is to help to shed light on the learning processes of the pronunciation of foreign languages, and to improve its learning and teaching.

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