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Ancient distribution and deposition of prestige objects : basalt vessels during late prehistory in the Southern Levant /

Rowan, Yorke McDermott, January 1900 (has links)
Ph. D.--Austin--University of Texas, 1998. / Bibliogr. p. 475-517.
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Analyse statistique et typologique des représentations du visage sur le mobilier dorsétien et les pétroglyphes du site rupestre de Qajartalik

Bergeron, Annick January 2009 (has links) (PDF)
La présente recherche s'intéresse principalement à l'analyse formelle et typologique des visages que l'on retrouve dans l'art mobilier dorsétien ainsi qu'au site de rupestre de Qajartalik, et ce, afin d'obtenir une vision plus large de ce qu'on entend aujourd'hui par « art dorsétien ». Cette recherche a démontré l'importance de s'attarder au visage comme lieu d'introspection, notamment pour identifier certaines règles de la « grammaire visuelle » dorsétienne, soit lors du transfert marquant le passage d'un sujet tridimensionnel à sa représentation bidimensionnelle. Cette relation nous aura aussi permis d'identifier un peu plus le vocabulaire visuel dorsétien et d'identifier à travers la forme du visage, plus spécifiquement, le thème chamanique de la transformation ou de la transfiguration.
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L’art mobilier magdalénien, du support au décor : les choix technologiques et leurs implications dans l’élaboration des objets ornés en matières osseuses : Etude de cas dans la Vallée de l’Aveyron : les gisements de Plantade, Lafaye, Montastruc et Courbet / Magdalenian mobiliary art, from blank to decoration : technological choices and their implications in the manufacture of decorated pieces in osseous materials : Case study in Aveyron valley : sites of Plantade, Lafaye, Montastruc and Courbet

Aurière, Lise 28 June 2012 (has links)
Depuis les années 1980-90, les études de l’art préhistorique ont développé les analyses techniques afin de rechercher les choix individuels, aborder le contexte techno-économique des groupes paléolithiques, et proposer un modèle social et culturel. Les recherches menées sur l’art mobilier ont apporté des résultats tels que l’identification des outils, ou plus généralement les processus mis en œuvre pour la réalisation des œuvres. L’ensemble de ces renseignements a permis de comprendre la succession des gestes des graveurs et ainsi apercevoir l’Homme derrière la technique.Dans la suite de ces travaux, une étude des processus techniques des supports de l’art mobilier en matières osseuses depuis leur acquisition sur l’animal jusqu’à la réalisation de la gravure, semblait nécessaire pour compléter les informations du système technique, et documenter la complémentarité support/décor. L’objectif est de retracer dans un premier temps les différentes actions sur la matière première conduisant à l’obtention d’un objet orné. Puis, dans un second temps d’analyser la place du décor dans la chaîne opératoire de l’objet, afin d’identifier des possibles variations dans les choix techniques de cette production. La méthodologie choisie fait référence, à la fois aux travaux développés depuis les années 1970 en industrie osseuse, et à ceux en art mobilier. Une approche expérimentale a permis la création et l’observation d’un corpus de stigmates, amenant à l’étude d’un ensemble choisi d’objets archéologiques. L’analyse détaillée à la fois des éléments de transformation du support et de la description du décor, a permis de proposer la chaîne opératoire de chacun d’entre eux, de la phase d’acquisition de la matière à celle de son utilisation. Le corpus archéologique a été constitué de pièces des gisements magdaléniens de la vallée de l’Aveyron, Lafaye, Plantade, Montastruc et Courbet, conservées au Muséum d’Histoire Naturelle de Montauban et au British Museum. / Since the 80s and 90s, the studies of prehistoric art are mostly directed towards technical analyses allowing us to look for individual choices, to approach the techno-economic context of the palaeolithic groups, and to propose social and cultural models. Researches carried out on osseous mobiliary art have led to identify the tools and, more generally, the processes used for the manufacture of these objects. This set of information brought about a better comprehension of the engravers’ hand gestures, allowing to perceive the Man behind the technique.Following these works, a study of the technical processing of portable art on osseous materials from the acquisition of the raw material to the realization of engravings appeared necessary to complete our knowledge of the technical system, and get information about the complementary relationship between blank and decoration. The first objective was to understand the various actions performed on the raw material to obtain the final decorated piece. The second aim was to analyze when the decoration takes place during the “chaîne opératoire” and to identify possible variations in the technical choices during the whole process. The chosen methodology makes reference at the same time to the research developed since the 1970s in osseous industry, and to studies specifically dedicated to mobiliary art. An experimental approach was used to observe a large variety of traces and to create a reference corpus, that was useful afterwards to select a set of archaeological objects to be studied. The simultaneous analysis of the transformation of the raw material and the description of the decoration led us to propose a full “chaîne opératoire” for each of them, from the acquisition of the raw material to the use of the final artefact. The archaeological corpus was constituted by pieces from the Magdalenian sites of Lafaye, Plantade, Montastruc and Courbet in the Aveyron valley, cared in the Natural History Museum of Montauban (Tarn-et-Garonne, France) and in the British Museum (London, England).
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Les traditions techniques lithiques à l'Épigravettien: Analyses de séries du Tardiglaciaire entre Alpes et Méditerranée

Montoya, Cyril 15 December 2004 (has links) (PDF)
Depuis les années 1960, les collections lithiques italiennes sont abordées principalement sur la base d'une grille d'analyse, élaborée par G. Laplace (1964). Cette méthode, portée sur le classement par types des différents outils retouchés, permis de poser un premier cadre évolutif des différentes industries lithiques mises au jour dans la péninsule italienne et en particulier de sa phase post-glaciaire : l'Epigravettien (20 000- 10 000 B.P.). Notre analyse s'est portée sur les traditions techniques lithiques des groupes humains épigravettiens des Préalpes du Sud françaises et de Vénétie (Italie) au Tardiglaciaire (Montoya, 2004). Deux collections de référence ont servi de base à cette étude : la collection lithique de Saint Antoine – Vitrolles dans les Alpes du Sud françaises et celle de Val Lastari dans les Préalpes de la Vénétie en Italie. Pour compléter ces analyses, des éléments techniques de comparaison ont été recherchés dans d'autres séries lithiques des Préalpes italiennes : l'abri Tagliente, les abris Villabruna et l'abri Dalmeri. Contrairement au modèle d'évolution linéaire des industries en vigueur avant cette analyse, notre étude a mis en évidence de nombreuses transformations techniques qui se sont opérées à l'intérieur du système de production lithique et dans une moindre mesure, des changements au sein de l'expression artistique des œuvres d'art mobilier. Les analyses des méthodes et techniques de débitage des supports d'outils et d'armatures ont révélé entre 14 000 et 10 000 BP (non Cal.) une simplification progressive, en trois étapes, des concepts de production lithique des sociétés épigravettiennes. On observe ainsi en diachronie une réduction du nombre de chaînes et de schémas opératoires mis en œuvre. Dans la plus ancienne phase (antérieure à 13 000 BP), les quatre objectifs de débitage identifiés (deux gammes de lamelles, lames, éclats laminaires) sont produits à partir de quatre chaînes opératoires disjointes mises en œuvre chacune, avec un schéma spécifique. Si quatre chaînes opératoires distinctes ont pu être déterminées au cours de la seconde phase (13 000- 11 250 BP), les artisans épigravettiens ont employé seulement deux schémas pour l'obtention de quatre gammes de supports : une méthode pour le débitage de lamelles et de grandes lamelles, et un schéma « facial » pour la production de lames et d'éclats laminaires. Ce concept de débitage « facial », révélé pour le débitage des lames, apparaît comme très original. Lors de l'application de ce schéma, les tailleurs ont conjugué de fortes contraintes techniques qui ont permis de produire des supports larges et robustes avec d'importantes propriétés tranchantes. La dernière étape (11 250–10 000 BP) de cette évolution des concepts de débitage épigravettien est marquée par l'utilisation d'un seul et unique schéma opératoire pour obtenir l'ensemble des supports désirés (lames, lamelles, éclats).<br />A cette simplification des méthodes de taille, s'opère en outre en parallèle des transformations dans les techniques et les modes d'expressions de l'art mobilier. Nous avons ainsi pu mettre en évidence l'existence de deux styles différents de représentations picturales. Le plus ancien, daté de la fin du Dryas ancien (antérieur à 13 000 BP), fait référence à un style naturaliste. A ce titre, les traits de l'artiste semblent reproduire fidèlement la réalité en insistant sur certains détails anatomiques et en conservant le mieux possible les proportions du sujet. A partir de 12 000 BP, on observe une perte de l'exactitude et de la précision lors de la représentation des sujets, avec des figures plus abstraites parfois même schématisées. Ces modifications observées dans les domaines techniques et artistiques témoignent des nombreux bouleversements qui ont affectés la structure des sociétés fossiles tardiglaciaires.
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Pour une anthropologie de l’art mobilier : identités et réseaux magdaléniens entre Loire et Dordogne / Toward an anthropology of portable art : magdalenian identities and networks between the Dordogne and Loire Valleys

Gaussein, Pascaline 23 November 2017 (has links)
L’archéologie paléolithique peine à esquisser la complexité des sociétés humaines. Le principal obstacle qui demeure concerne les réalités sociales, culturelles, et finalement humaines, que sous-tendent les vestiges qu’elle exhume. La méthode élaborée dans le cadre de cette thèse a pour ambition de compléter la réflexion menée sur la définition des « cultures » et des « territoires » préhistoriques, en les abordant du point de vue des unités sociales et de leurs dynamiques. Cette étude s’est également efforcée de réviser l’analyse des styles et le rôle des objets ornés dans les dynamiques sociales des chasseurs-cueilleurs préhistoriques. À cette fin, la réflexion menée repose sur un postulat fondamental : le fait anthropologique que la culture matérielle est partie prenante des processus d’identification et d’interactions sociales, à la fois participant et étant influencée par ces comportements. Le style des objets (manière de faire) et leur répartition dépendent donc des interactions entre individus et groupes, en lien étroit avec leur environnement naturel et social. Il est donc fait appel à des récurrences anthropologiques qui fournissent des clés de lecture pour la distribution et l’évolution des styles de la culture matérielle au regard des contextes et dynamiques sociales qui en sont responsables. Cette méthode est testée sur une approche synchronique et diachronique des objets ornés du Magdalénien, mis au jour dans le centre-ouest de la France (environ 18 000 à 12 000 ans BP). Cette étude est complétée d’une discussion transdisciplinaire des hypothèses interprétatives ainsi formulées. / Palaeolithic archaeology struggles to reach human societies complexity. The main issue relates to social, cultural, and overall human realities underlying the excavated remains. The methodology herein developed aims at clarifying the characterization of prehistoric “cultures” and “territories” by approaching them through social units and their dynamics. Moreover, the present study endeavours to revise style analysis and the part played by ornamented goods within prehistoric hunter-gatherers’ social interactions. The keystone to this issue relies on the anthropological fact that material culture is “an active constitutive dimension of social practice in that it both structures human agency and is a product of that agency” (Jones, 1997). Consequently, its styles depend on interaction modalities and evolution, in relation to their natural and social environment (mainly resources and human demography). Therefore, this research invokes social anthropology’s recurrences which provide a fundamental framework to interpret distribution and changes of styles depending on the context and social dynamics influences. The present methodology is experimented on a synchronic and diachronic approach of Magdalenian portable art from western central France (ca. 18 000 to 12 000 years BP). This study is completed by a transdisciplinary discussion of the herein devised interpretative hypotheses.

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