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Passages inclusifs : le réseau d'organismes communautaires autochtones de Montréal

Chiasson, Stéphanie 07 1900 (has links)
This research aims to enrich the understanding of the constitution of a sense of belonging to an aboriginal community in Montreal. It has been demonstrated that there is indeed a social cohesion in Montreal based on the collective aboriginal ethnic identity, or aboriginality. This cohesion is supported by aboriginal organizations and associations, whise approaches and engagements have a direct impact on their inclusion into the community. These institutions are considered as the source of communitarian social bond in the city. By the empowerment of a shared aboriginal identity, the representation of community interests, the integration in the urban life, the service delivery to members of the middle class and the creation of secured spaces dedicated to their cultural heritage, aboriginal associations are creating social ties to the community. On the other hand, some problems like the lack of communication between organizations, their hermetic nature, their excessive bureaucratic methods, the way women in the community monopolize the institutions, the presence of non-aboriginal people as well as the gang phenomenon are all experienced in the organizations. These problems produce harmful consequences on the member’s relations to the communitarian system and reduce their participation and attendance. Also, the social bond within the native community is weakened by various factors outside the grasp of the institutions. Some internal discriminations and stereotypes, sometimes tied to the use of administrative indicators of the Canadian Aboriginal Law, the lack of a native district in Montreal, and the different socio-economic members’ situations create divisions and affect the community spirit. This thesis focuses on the native community construction in an urban area through its institutional sphere, which differs from other studies on urban Natives. The objective is to understand the urban realities and the way the urban native communities are developing themselves. / Cette recherche vise à comprendre la création du sentiment d’appartenance à une communauté autochtone à Montréal. Elle démontre qu’une cohésion sociale communautaire à Montréal repose sur l’identité ethnique « autochtone », soit l’autochtonie. Cette dernière est soutenue par les organismes et associations autochtones, dont les approches et engagements ont un impact direct sur le sentiment d’appartenance à la communauté. Ces institutions sont considérées ici comme étant à la base du lien social dans la communauté de Montréal. En effet, à travers la valorisation d’une identité générique autochtone, la représentation des intérêts de la communauté, l’insertion dans la vie urbaine, l’offre de services à la classe moyenne, la création d’espaces sécuritaires et d’apprentissage culturel en ville, les organisations communautaires autochtones entraînent la création de liens sociaux et d’appartenances, constituant le tissu social de la communauté. En contrepartie, plusieurs problèmes comme le manque de communication entre les organismes, leur herméticité, la bureaucratisation excessive, le phénomène de clique et une présence des non-autochtones et des femmes accaparante, sont vécus dans le milieu organisationnel. Ces problématiques engendrent des conséquences néfastes sur le rapport des membres aux dispositifs communautaires, pour un amoindrissement de leur participation et de leur fréquentation des organismes. De plus, le lien social communautaire est affaibli par plusieurs facteurs extérieurs à la sphère d’activité des institutions. Les discriminations et les stéréotypes à l’interne, parfois liés à l’incorporation de critères administratifs de la Loi sur les Indiens, l’absence d’un quartier autochtone, ainsi que les différentes conditions socio-économiques des membres créent des divisions et contreviennent à l’esprit de communauté. Enfin, ce mémoire met l’accent sur la constitution d’une communauté autochtone en milieu urbain à travers son réseau d’institutions, ce qui le démarque des études sur les Amérindiens. L’objectif est de saisir les réalités vécues en ville et de comprendre de quelle façon s’effectue le développement des communautés autochtones urbaines.
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Vivre la ville : l'expérience sociale et spatiale des autochtones de Val-d'Or

Cornellier, Frédérique 12 1900 (has links)
Cette recherche se démarque des études sur les Amérindiens urbains en se penchant sur le quotidien des autochtones dans la ville de Val-d’Or (Abitibi, Québec). Ce mémoire s’interroge sur leurs rapports sociaux et leurs relations aux lieux de la ville. Il montre qu’une communauté autochtone vit à Val-d’Or, caractérisée par sa structure sociale, son identité collective et l’apparition d’une classe élite. La mémoire collective, l’environnement social et les allochtones façonnent l’identité des autochtones de Val-d’Or. L’appropriation que ces derniers font de l’espace se doit d’être considérée dans le maintien de leur identité collective, mais également dans leur façon de vivre la ville au quotidien. La dichotomie visibilité/invisibilité apparaît lorsqu’il est question des autochtones et du milieu urbain. C’est par la reconnaissance sociale que les individus deviennent « visibles » (positivement ou négativement) aux autres. Quant à l’invisibilité, c’est par la « non-perception » qu’elle s’actualise. C’est au sein des interactions interethniques que se vit cette dichotomie. Ces interactions sociales et ces contacts interethniques démontrent la segmentation ethnique des relations sociales. Un jeu de proximité/distance s’instaure et fait place aux stéréotypes (exacts et inexacts). Parmi les non-autochtones de Val-d’Or, les discours véhiculés sont marqués par un caractère genré, où certains propos discriminatoires ressortent. Enfin, le mémoire met l’accent sur le fait que les Amérindiens constituent, au même titre que les autres populations urbaines, des acteurs sociaux citadins qui façonnent de plus en plus les paysages des villes canadiennes. / This research differs from other studies on urban Natives by looking at the daily life of Natives in the city of Val-d’Or (Abitibi, Quebec). This thesis examines their social experiences and their relations to the places of the city. It demonstrates that a Native community lives in Val-d’Or, and that it is characterized by its social structure, its collective identity, and the creation of an elite class. The collective memory, the social environment, and the non-Natives are central for the Val-d’Or Native’s identity. The sense of belonging that Natives are building toward the urban environment has to be considered in the preservation of their collective identity, as well as in their daily life in the city. When we are talking about Natives and urban space, the visibility/invisibility dichotomy appears. The social recognition entitles individuals to get visibility (positive or negative) from others. On the contrary, invisibility is a process of “non-perception”. It is in social inter-ethnic interaction that this dichotomy is experienced. Social interactions and inter-ethnic human contacts are creating ethnic segmentation in social relations. A proximity/distance phenomenon is introduced and creates stereotypes (accurate and inaccurate). The discource of the non-Natives of Val-d’Or is gender oriented, marked by some discriminatory words. This thesis focuses on the fact that the Natives are, like other urban populations, urban social actors who shape the landscapes of Canadian cities.
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Vivre la ville : l'expérience sociale et spatiale des autochtones de Val-d'Or

Cornellier, Frédérique 12 1900 (has links)
Cette recherche se démarque des études sur les Amérindiens urbains en se penchant sur le quotidien des autochtones dans la ville de Val-d’Or (Abitibi, Québec). Ce mémoire s’interroge sur leurs rapports sociaux et leurs relations aux lieux de la ville. Il montre qu’une communauté autochtone vit à Val-d’Or, caractérisée par sa structure sociale, son identité collective et l’apparition d’une classe élite. La mémoire collective, l’environnement social et les allochtones façonnent l’identité des autochtones de Val-d’Or. L’appropriation que ces derniers font de l’espace se doit d’être considérée dans le maintien de leur identité collective, mais également dans leur façon de vivre la ville au quotidien. La dichotomie visibilité/invisibilité apparaît lorsqu’il est question des autochtones et du milieu urbain. C’est par la reconnaissance sociale que les individus deviennent « visibles » (positivement ou négativement) aux autres. Quant à l’invisibilité, c’est par la « non-perception » qu’elle s’actualise. C’est au sein des interactions interethniques que se vit cette dichotomie. Ces interactions sociales et ces contacts interethniques démontrent la segmentation ethnique des relations sociales. Un jeu de proximité/distance s’instaure et fait place aux stéréotypes (exacts et inexacts). Parmi les non-autochtones de Val-d’Or, les discours véhiculés sont marqués par un caractère genré, où certains propos discriminatoires ressortent. Enfin, le mémoire met l’accent sur le fait que les Amérindiens constituent, au même titre que les autres populations urbaines, des acteurs sociaux citadins qui façonnent de plus en plus les paysages des villes canadiennes. / This research differs from other studies on urban Natives by looking at the daily life of Natives in the city of Val-d’Or (Abitibi, Quebec). This thesis examines their social experiences and their relations to the places of the city. It demonstrates that a Native community lives in Val-d’Or, and that it is characterized by its social structure, its collective identity, and the creation of an elite class. The collective memory, the social environment, and the non-Natives are central for the Val-d’Or Native’s identity. The sense of belonging that Natives are building toward the urban environment has to be considered in the preservation of their collective identity, as well as in their daily life in the city. When we are talking about Natives and urban space, the visibility/invisibility dichotomy appears. The social recognition entitles individuals to get visibility (positive or negative) from others. On the contrary, invisibility is a process of “non-perception”. It is in social inter-ethnic interaction that this dichotomy is experienced. Social interactions and inter-ethnic human contacts are creating ethnic segmentation in social relations. A proximity/distance phenomenon is introduced and creates stereotypes (accurate and inaccurate). The discource of the non-Natives of Val-d’Or is gender oriented, marked by some discriminatory words. This thesis focuses on the fact that the Natives are, like other urban populations, urban social actors who shape the landscapes of Canadian cities.

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